"1548-09-19"^^ . . . "\n \n \n Informations complémentaires :\n \n Les époux acquittent Pierre Bontemps de tous les dommages et intérêts, poursuites et internement auxquels ils pourraient prétendre, moyennant le paiement de 9 écus d'or soleil.\n \n Origine de l'information :\n \n Documents du Minutier central des notaires de Paris, Histoire de l'art au XVIe siècle (1540-1600) [477 actes], par Catherine Grodecki, tome II, Sculpture, peinture et gravure, broderie, faïence et émaillerie, orfèvrerie et joaillerie, armes et armures, Paris, Archives nationales, 1986, p. 53, notice n° 527 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).\n \n Date de révision :2011\n \n Date de création de la notice :2009\n \n "^^ . . "19 septembre 1548"@fr . . "\n \n Autre(s) instrument(s) de recherche\n \n Documents du Minutier central des notaires de Paris, Histoire de l'art au XVIe siècle (1540-1600), par C. Grodecki, tome II, Sculpture, peinture et gravure, broderie, faïence et émaillerie, orfèvrerie et joaillerie, armes et armures, Paris, Archives nationales, 1986, 344 p.\n \n \n "^^ . . "Désistement par Pierre Gabyes, vigneron à Saint-Marcel lès Paris, représenté par Philippe Pajot, sa femme, de l'action intentée par lui devant le Châtelet de Paris à l'encontre de Pierre Bontemps, tailleur de figures pour le Roi, demeurant aussi à Saint-Marcel, pour raison des excès, coups et injures commis par celui-ci et proférés six semaines auparavant envers ledit Gabyes."@fr . . . . "Désistement par Pierre Gabyes, vigneron à Saint-Marcel lès Paris, représenté par Philippe Pajot, sa femme, de l'action intentée par lui devant le Châtelet de Paris à l'encontre de Pierre Bontemps, tailleur de figures pour le Roi, demeurant aussi à Saint-Marcel, pour raison des excès, coups et injures commis par celui-ci et proférés six semaines auparavant envers ledit Gabyes."@fr . .