. "Inventaire après décès de Catherine Bigot, veuve d'Antoine Pesche, maître cordonnier, et femme de Jean Guinguerot, maître cordonnier, demeurant rue Saint-Antoine, en l'hôtel de l'Homme sauvage. Inventaire après le décès de Catherine BIGOT. A la requête de son mari, Jean GUINGNERET (alias GUIGNERET), maître cordonnier de Paris, tant en son nom que comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté de la défunte, jadis sa femme, et auparavant veuve de Antoine PESCHE, aussi maître cordonnier de Paris. Et [aussi à la requête] d’honorable homme Jacques BIGOT, marchand et bourgeois de Paris, frère de la défunte, tant en son nom et comme tuteur et curateur de Jean PESCHE, âgé de 14 à 15 ans, fils mineur desdits défunt Antoine PESCHE et Catherine BIGOT, et aussi comme exécuteur avec ledit GUIGNERET du testament de la défunte. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue Saint-Antoine, dans l’hôtel de l’Homme sauvage appartenant à Jean Parfait, et en laquelle la défunte est décédée. 29 décembre 1489, Jean BIGOT et Pierre BIGOT son frère, achètent une friche à Bussy-Saint-Martin (77600), au lieu-dit le clos au dessus de l’étang. Lettres passées sous les sceaux de la châtellenie de Torcy (77200), le mardi 6 septembre 1518, signées Pierre de LANGELLERYE par lesquelles appert Jean LE VACHER, mercier demeurant à Bussy-Saint-Georges (77600), comme détenteur et propriétaire d’un quartier de vigne et saulsaye sis au terroir de Bussy-Saint-Martin. mardi décembre 1523, appert Jean PICQUET, marchand drapier bourgeois de Paris et Louise BIGOT, sa future épouse, avoir vendu à Antoine PESCHE deux pièces de vignes à Villeneuve-Saint-Georges (94190). 16 décembre 1532, appert Thomas BIGOT avoir vendu à Antoine PESCHE une maison à Villeneuve-Saint-Georges."@fr . "1546-03-11"^^ . . "\n \n \n Origine de l'information :\n \n Documents du Minutier central des notaires de Paris, Inventaires après décès, tome I, 1483-1547, catalogue [1532 actes], par Madeleine Jurgens, Paris, Archives nationales, 1982, p. 295, notice n° 1224 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).\n ou\n Étude III, contrats de mariages, testaments, inventaires après décès, 1518-1519, 1530-1589 (ET/III/1 à 73, 117 à 217, 299-300, 342 soit 657 actes). (fichier papier entièrement dématérialisé ; voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).\n ou\n Dépouillements réalisés par les bénévoles de \"Projet Familles parisiennes.org/Au-delà de l'état-civil\" : analyses de liasses d'inventaires après décès des XVIe et premier XVIIe siècles, par Jean-François Viel, Quentin Gravier, Pascal Ganier, Anthony Lachaud, Jean-Dominique Pellegrini et Christophe de Mazancourt, avec l'aide de Mireille Gille, Nicole Chantelou et Jacques Le Marois pour la mise en forme.\n \n Date de création de la notice :2009\n \n Date de révision :2018 (Marie-Françoise Limon-Bonnet)\n \n "^^ . "11 mars 1546"@fr . . . . . . "\n \n Autre(s) instrument(s) de recherche\n \n Documents du Minutier central des notaires de Paris, Inventaires après décès, tome I, 1483-1547, catalogue, par Madeleine Jurgens, Paris, Archives nationales, 1982, 507 p.\n \n \n "^^ . . "Inventaire après décès de Catherine Bigot, veuve d'Antoine Pesche, maître cordonnier, et femme de Jean Guinguerot, maître cordonnier, demeurant rue Saint-Antoine, en l'hôtel de l'Homme sauvage. Inventaire après le décès de Catherine BIGOT. A la requête de son mari, Jean GUINGNERET (alias GUIGNERET), maître cordonnier de Paris, tant en son nom que comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté de la défunte, jadis sa femme, et auparavant veuve de Antoine PESCHE, aussi maître cordonnier de Paris. Et [aussi à la requête] d’honorable homme Jacques BIGOT, marchand et bourgeois de Paris, frère de la défunte, tant en son nom et comme tuteur et curateur de Jean PESCHE, âgé de 14 à 15 ans, fils mineur desdits défunt Antoine PESCHE et Catherine BIGOT, et aussi comme exécuteur avec ledit GUIGNERET du testament de la défunte. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue Saint-Antoine, dans l’hôtel de l’Homme sauvage appartenant à Jean Parfait, et en laquelle la défunte est décédée. 29 décembre 1489, Jean BIGOT et Pierre BIGOT son frère, achètent une friche à Bussy-Saint-Martin (77600), au lieu-dit le clos au dessus de l’étang. Lettres passées sous les sceaux de la châtellenie de Torcy (77200), le mardi 6 septembre 1518, signées Pierre de LANGELLERYE par lesquelles appert Jean LE VACHER, mercier demeurant à Bussy-Saint-Georges (77600), comme détenteur et propriétaire d’un quartier de vigne et saulsaye sis au terroir de Bussy-Saint-Martin. mardi décembre 1523, appert Jean PICQUET, marchand drapier bourgeois de Paris et Louise BIGOT, sa future épouse, avoir vendu à Antoine PESCHE deux pièces de vignes à Villeneuve-Saint-Georges (94190). 16 décembre 1532, appert Thomas BIGOT avoir vendu à Antoine PESCHE une maison à Villeneuve-Saint-Georges."@fr . .