Titre nouvel par lequel Louis Galloche, peintre ordinaire du roi, et Louise-Catherine Maillard, sa femme, demeurant rue Neuve-des-Petits-Champs, reconnaissent la fondation d'un salut, tous les premiers jeudis de chaque mois, à Saint-Léger, du bourg de Mouy, diocèse de Beauvais, par l'aïeul maternel de ladite dame Galloche, Louis Legrand, marchand bourgeois de Paris, ancien juge consul de cette ville, par acte passé devant Dionis, le 24 septembre 1717, et promettent de continuer à payer à ladite paroisse de Saint-Léger, une rente de 72 livres.
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Titre nouvel par lequel Louis Galloche, peintre ordinaire du roi, et Louise-Catherine Maillard, sa femme, demeurant rue Neuve-des-Petits-Champs, reconnaissent la fondation d'un salut, tous les premiers jeudis de chaque mois, à Saint-Léger, du bourg de Mouy, diocèse de Beauvais, par l'aïeul maternel de ladite dame Galloche, Louis Legrand, marchand bourgeois de Paris, ancien juge consul de cette ville, par acte passé devant Dionis, le 24 septembre 1717, et promettent de continuer à payer à ladite paroisse de Saint-Léger, une rente de 72 livres.
xsd:date
1719-04-12
12 avril 1719
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 275 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Titre nouvel par lequel Louis Galloche, peintre ordinaire du roi, et Louise-Catherine Maillard, sa femme, demeurant rue Neuve-des-Petits-Champs, reconnaissent la fondation d'un salut, tous les premiers jeudis de chaque mois, à Saint-Léger, du bourg de Mouy, diocèse de Beauvais, par l'aïeul maternel de ladite dame Galloche, Louis Legrand, marchand bourgeois de Paris, ancien juge consul de cette ville, par acte passé devant Dionis, le 24 septembre 1717, et promettent de continuer à payer à ladite paroisse de Saint-Léger, une rente de 72 livres.