Inventaire après décès de Nicolas Perducat, vivant maître coutelier à Paris, à la requête de sa veuve, Marie de Souy, demeurant à Paris rue de la Tisseranderie, en la maison où est pour enseigne Monsieur Couronnée, paroisse Saint-Jean-en-Grève, tant en son nom à cause de leur communauté de biens, que comme tutrice de Jacques Perducat, leur fils mineur, habile à être héritier du défunt son père. Et en la présence de Frémin Delaval, maître sculpteur, bourgeois de Paris, y demeurant rue de la Heaumerie, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, oncle paternel à cause de Madeleine Perducat, sa femme, et subrogé tuteur dudit mineur (par acte du Châtelet du 29 septembre 1638). Les biens étant, tant en la maison de Monsieur Couronnée, qu'en la maison où est pour enseigne la Flandre, sise rue de la Coutellerie, en laquelle le défunt était demeurant au jour de son décès, montrés et enseignés par Louise Léveillée, veuve de feu Hector de Souy, vivant maître coutelier à Paris, mère de la veuve Perducat, et demeurant avec elle. Dans les papiers : contrat de mariage Perducat-de Souy, passé par-devant Grandrye et Motelet le 28 juillet 1627.Procès verbal signé Le Vacher, commissaire et examinateur au Châtelet du 19 octobre 1635, fait entre Pierre Bazin, maître coutelier et Anne Perducat sa femme, héritière pour une sixième partie de défunts Gilles Perducat, vivant aussi coutelier à Paris et Marie Richard, ses père et mère.
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Inventaire après décès de Nicolas Perducat, vivant maître coutelier à Paris, à la requête de sa veuve, Marie de Souy, demeurant à Paris rue de la Tisseranderie, en la maison où est pour enseigne Monsieur Couronnée, paroisse Saint-Jean-en-Grève, tant en son nom à cause de leur communauté de biens, que comme tutrice de Jacques Perducat, leur fils mineur, habile à être héritier du défunt son père. Et en la présence de Frémin Delaval, maître sculpteur, bourgeois de Paris, y demeurant rue de la Heaumerie, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, oncle paternel à cause de Madeleine Perducat, sa femme, et subrogé tuteur dudit mineur (par acte du Châtelet du 29 septembre 1638). Les biens étant, tant en la maison de Monsieur Couronnée, qu'en la maison où est pour enseigne la Flandre, sise rue de la Coutellerie, en laquelle le défunt était demeurant au jour de son décès, montrés et enseignés par Louise Léveillée, veuve de feu Hector de Souy, vivant maître coutelier à Paris, mère de la veuve Perducat, et demeurant avec elle. Dans les papiers : contrat de mariage Perducat-de Souy, passé par-devant Grandrye et Motelet le 28 juillet 1627.Procès verbal signé Le Vacher, commissaire et examinateur au Châtelet du 19 octobre 1635, fait entre Pierre Bazin, maître coutelier et Anne Perducat sa femme, héritière pour une sixième partie de défunts Gilles Perducat, vivant aussi coutelier à Paris et Marie Richard, ses père et mère.
xsd:date
1638-10-04
4 octobre 1638
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant les peintres, sculpteurs et graveurs au XVIIe siècle (1600-1650) [études I à X, 1955 actes], par Marie-Antoinette Fleury, tome I, Paris, S.E.V.P.E.N, 1969, p. 188 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
ou
Dépouillements réalisés par les bénévoles de "Projet Familles parisiennes.org/Au-delà de l'état-civil" : analyses de liasses d'inventaires après décès des XVIe et premier XVIIe siècles, par Jean-François Viel, Quentin Gravier, Pascal Ganier, Anthony Lachaud, Jean-Dominique Pellegrini et Christophe de Mazancourt, avec l'aide de Mireille Gille, Nicole Chantelou et Jacques Le Marois pour la mise en forme.
Date de création de la notice : 2007
Date de révision : 2017 (Marie-Françoise Limon-Bonnet).
Inventaire après décès de Nicolas Perducat, vivant maître coutelier à Paris, à la requête de sa veuve, Marie de Souy, demeurant à Paris rue de la Tisseranderie, en la maison où est pour enseigne Monsieur Couronnée, paroisse Saint-Jean-en-Grève, tant en son nom à cause de leur communauté de biens, que comme tutrice de Jacques Perducat, leur fils mineur, habile à être héritier du défunt son père. Et en la présence de Frémin Delaval, maître sculpteur, bourgeois de Paris, y demeurant rue de la Heaumerie, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, oncle paternel à cause de Madeleine Perducat, sa femme, et subrogé tuteur dudit mineur (par acte du Châtelet du 29 septembre 1638). Les biens étant, tant en la maison de Monsieur Couronnée, qu'en la maison où est pour enseigne la Flandre, sise rue de la Coutellerie, en laquelle le défunt était demeurant au jour de son décès, montrés et enseignés par Louise Léveillée, veuve de feu Hector de Souy, vivant maître coutelier à Paris, mère de la veuve Perducat, et demeurant avec elle. Dans les papiers : contrat de mariage Perducat-de Souy, passé par-devant Grandrye et Motelet le 28 juillet 1627.Procès verbal signé Le Vacher, commissaire et examinateur au Châtelet du 19 octobre 1635, fait entre Pierre Bazin, maître coutelier et Anne Perducat sa femme, héritière pour une sixième partie de défunts Gilles Perducat, vivant aussi coutelier à Paris et Marie Richard, ses père et mère.