Mise en apprentissage par Eustache Baudouin, maçon, et par Anne Astarie, sa femme, demeurant rue de la Juiverie, pour trois années, de Jeanne Baudouin, âgée de quatorze ans, leur fille, chez Marie Barat, coquillière, femme de Pierre Bourgeois, maître joueur d'instruments, demeurant rue de la Tannerie, qui lui apprendra à faire masques, coiffes et coquilles et lui fournira ses vivres, le feu et le lit, moyennant 48 livres dont 18 livres sont versées comptant.

http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/recordResource/041167-c1p6sn8v9683--gijkyuqjhtxa an entity of type: RecordResource

Mise en apprentissage par Eustache Baudouin, maçon, et par Anne Astarie, sa femme, demeurant rue de la Juiverie, pour trois années, de Jeanne Baudouin, âgée de quatorze ans, leur fille, chez Marie Barat, coquillière, femme de Pierre Bourgeois, maître joueur d'instruments, demeurant rue de la Tannerie, qui lui apprendra à faire masques, coiffes et coquilles et lui fournira ses vivres, le feu et le lit, moyennant 48 livres dont 18 livres sont versées comptant. 
xsd:date 1635-07-30 
30 juillet 1635 
rdf:XMLLiteral Autre(s) instrument(s) de recherche Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome I, Paris, Archives nationales, 1967, XVI-1054 p.  
rdf:XMLLiteral Origine de l'information : Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome I [études I à X, 1763 actes], Paris, Archives nationales, 1967, p. 497 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de révision :2011 Date de création de la notice :2009  
Mise en apprentissage par Eustache Baudouin, maçon, et par Anne Astarie, sa femme, demeurant rue de la Juiverie, pour trois années, de Jeanne Baudouin, âgée de quatorze ans, leur fille, chez Marie Barat, coquillière, femme de Pierre Bourgeois, maître joueur d'instruments, demeurant rue de la Tannerie, qui lui apprendra à faire masques, coiffes et coquilles et lui fournira ses vivres, le feu et le lit, moyennant 48 livres dont 18 livres sont versées comptant. 

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