Transaction entre Jean Bouteroue d'Aubigny, écuyer, seigneur de La Roche-Chargé, Saint-Lubin et autres lieux, conseiller secrétaire du roi, maison, couronne de France et de ses finances, demeurant dans sa maison, quai de la Tournelle, d'une part, Henri de Favanne, peintre ordinaire du roi, professeur en son académie royale de peinture et de sculpture, et Louise-Geneviève Duprés, sa femme, demeurant rue Froidmanteau, d'autre part, au sujet du payement de 'tous les ouvrages de peintures, tableaux et autres, faits pour ledit sieur d'Aubigny par ledit sieur de Favanne, de tout le passé jusqu'à présent, tant en Espagne qu'en France, en sa maison à Paris et en celle de Chanteloup, peines, soins, travaux et dépenses' ; au terme du compte qui en a été fait entre les parties, le sieur d'Aubigny s'est trouvé redevable envers le sieur de Favanne de la somme de 6.000 livres; pour s'en acquitter il constitue 300 livres de rente au profit du peintre et de sa femme et de leurs héritiers et ayants cause; en outre, 'par considération et reconnaissance des peines et travaux particuliers desdits sieurs et demoiselle Favanne', il constitue à leur profit une pension viagère de 600 livres.
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Transaction entre Jean Bouteroue d'Aubigny, écuyer, seigneur de La Roche-Chargé, Saint-Lubin et autres lieux, conseiller secrétaire du roi, maison, couronne de France et de ses finances, demeurant dans sa maison, quai de la Tournelle, d'une part, Henri de Favanne, peintre ordinaire du roi, professeur en son académie royale de peinture et de sculpture, et Louise-Geneviève Duprés, sa femme, demeurant rue Froidmanteau, d'autre part, au sujet du payement de 'tous les ouvrages de peintures, tableaux et autres, faits pour ledit sieur d'Aubigny par ledit sieur de Favanne, de tout le passé jusqu'à présent, tant en Espagne qu'en France, en sa maison à Paris et en celle de Chanteloup, peines, soins, travaux et dépenses' ; au terme du compte qui en a été fait entre les parties, le sieur d'Aubigny s'est trouvé redevable envers le sieur de Favanne de la somme de 6.000 livres; pour s'en acquitter il constitue 300 livres de rente au profit du peintre et de sa femme et de leurs héritiers et ayants cause; en outre, 'par considération et reconnaissance des peines et travaux particuliers desdits sieurs et demoiselle Favanne', il constitue à leur profit une pension viagère de 600 livres.
xsd:date
1725-12-16
16 décembre 1725
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 262 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Transaction entre Jean Bouteroue d'Aubigny, écuyer, seigneur de La Roche-Chargé, Saint-Lubin et autres lieux, conseiller secrétaire du roi, maison, couronne de France et de ses finances, demeurant dans sa maison, quai de la Tournelle, d'une part, Henri de Favanne, peintre ordinaire du roi, professeur en son académie royale de peinture et de sculpture, et Louise-Geneviève Duprés, sa femme, demeurant rue Froidmanteau, d'autre part, au sujet du payement de 'tous les ouvrages de peintures, tableaux et autres, faits pour ledit sieur d'Aubigny par ledit sieur de Favanne, de tout le passé jusqu'à présent, tant en Espagne qu'en France, en sa maison à Paris et en celle de Chanteloup, peines, soins, travaux et dépenses' ; au terme du compte qui en a été fait entre les parties, le sieur d'Aubigny s'est trouvé redevable envers le sieur de Favanne de la somme de 6.000 livres; pour s'en acquitter il constitue 300 livres de rente au profit du peintre et de sa femme et de leurs héritiers et ayants cause; en outre, 'par considération et reconnaissance des peines et travaux particuliers desdits sieurs et demoiselle Favanne', il constitue à leur profit une pension viagère de 600 livres.