Quittance donnée par Robert Ducy. peintre et valet de chambre du prince de Condé, et par Claude Du Breuil, sa femme, à Jacques Du Breuil, avocat en parlement, à Martin Giry, agissant au nom des enfants mineurs de Marguerite Du Breuil, sa femme, et à Étienne Guion, avocat en parlement, d'une somme de 500 livres tournois, restant à payer sur celle de 1.200 livres qui lui avait été promise par son contrat de mariage.

http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/recordResource/041212-c1p6szw5xg9n--lu5jcy8t88er an entity of type: RecordResource

Quittance donnée par Robert Ducy. peintre et valet de chambre du prince de Condé, et par Claude Du Breuil, sa femme, à Jacques Du Breuil, avocat en parlement, à Martin Giry, agissant au nom des enfants mineurs de Marguerite Du Breuil, sa femme, et à Étienne Guion, avocat en parlement, d'une somme de 500 livres tournois, restant à payer sur celle de 1.200 livres qui lui avait été promise par son contrat de mariage. 
xsd:date 1627-11-17 
17 novembre 1627 
rdf:XMLLiteral Autre(s) instrument(s) de recherche Documents du Minutier central concernant les peintres, sculpteurs et graveurs au XVIIe siècle (1600-1650), par Marie-Antoinette Fleury, tome I, Paris, S.E.V.P.E.N, 1969, LXXXIV-974 p.  
rdf:XMLLiteral Origine de l'information : Documents du Minutier central concernant les peintres, sculpteurs et graveurs au XVIIe siècle (1600-1650) [études I à X, 1955 actes], par Marie-Antoinette Fleury, tome I, Paris, S.E.V.P.E.N, 1969, p. 211 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de révision :2010 Date de création de la notice :2007  
Quittance donnée par Robert Ducy. peintre et valet de chambre du prince de Condé, et par Claude Du Breuil, sa femme, à Jacques Du Breuil, avocat en parlement, à Martin Giry, agissant au nom des enfants mineurs de Marguerite Du Breuil, sa femme, et à Étienne Guion, avocat en parlement, d'une somme de 500 livres tournois, restant à payer sur celle de 1.200 livres qui lui avait été promise par son contrat de mariage. 

blank nodes

data from the linked data cloud