Déclaration de Pierre Beauchamps, violon ordinaire de la chambre du roi, demeurant rue Saint-Séverin, et de Marguerite de Brie, son épouse, suivant laquelle, s'étant promis de donner à leur fille Marguerite Beauchamps, à l'occasion de son prochain mariage avec Jérôme Andreossy, une dot de 15.000 livres, ils ont l'intention d'égaler leurs autres enfants qui n'ont reçus que 8.000 livres lors de leur mariage. En exécution de quoi, Germain Beauchamps, écuyer, exempt des gardes du corps du roi sous la charge du comte de Tresmes, demeurant rue des Prêtres, paroisse Saint-Séverin, qui avait reçu 7.000 livres pour valeur de son office et 1.000 livres en deniers, reçoit maintenant une maison avec cour et jardin, sise rue de Grenelle à Vaugirard, avec les meubles qu'elle contient, et des terres, prés et vignes estimés à 6.000 livres, ainsi que 1.000 livres en deniers comptants. Louis Beauchamps, bourgeois de Paris, demeurant rue Boutebrie, qui avait eu 8.000 livres par contrat du 21 novembre 1619, reçoit 7.000 livres en deniers comptants. Isabelle Beauchamps et Nicolas Magnat, bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Jacques, se voient attribuer la propriété d'un tiers de maison rue Quincampoix, estimé à 7.000 livres. Nicole Beauchamps et Ponce Sauvage, procureur au Châtelet, reçoivent le second tiers de cette maison, dont le dernier tiers reviendra à Marguerite Beauchamps.
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Déclaration de Pierre Beauchamps, violon ordinaire de la chambre du roi, demeurant rue Saint-Séverin, et de Marguerite de Brie, son épouse, suivant laquelle, s'étant promis de donner à leur fille Marguerite Beauchamps, à l'occasion de son prochain mariage avec Jérôme Andreossy, une dot de 15.000 livres, ils ont l'intention d'égaler leurs autres enfants qui n'ont reçus que 8.000 livres lors de leur mariage. En exécution de quoi, Germain Beauchamps, écuyer, exempt des gardes du corps du roi sous la charge du comte de Tresmes, demeurant rue des Prêtres, paroisse Saint-Séverin, qui avait reçu 7.000 livres pour valeur de son office et 1.000 livres en deniers, reçoit maintenant une maison avec cour et jardin, sise rue de Grenelle à Vaugirard, avec les meubles qu'elle contient, et des terres, prés et vignes estimés à 6.000 livres, ainsi que 1.000 livres en deniers comptants. Louis Beauchamps, bourgeois de Paris, demeurant rue Boutebrie, qui avait eu 8.000 livres par contrat du 21 novembre 1619, reçoit 7.000 livres en deniers comptants. Isabelle Beauchamps et Nicolas Magnat, bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Jacques, se voient attribuer la propriété d'un tiers de maison rue Quincampoix, estimé à 7.000 livres. Nicole Beauchamps et Ponce Sauvage, procureur au Châtelet, reçoivent le second tiers de cette maison, dont le dernier tiers reviendra à Marguerite Beauchamps.
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1626-05-02
2 mai 1626
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome I, Paris, Archives nationales, 1967, XVI-1054 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome I [études I à X, 1763 actes], Paris, Archives nationales, 1967, p. 128 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Déclaration de Pierre Beauchamps, violon ordinaire de la chambre du roi, demeurant rue Saint-Séverin, et de Marguerite de Brie, son épouse, suivant laquelle, s'étant promis de donner à leur fille Marguerite Beauchamps, à l'occasion de son prochain mariage avec Jérôme Andreossy, une dot de 15.000 livres, ils ont l'intention d'égaler leurs autres enfants qui n'ont reçus que 8.000 livres lors de leur mariage. En exécution de quoi, Germain Beauchamps, écuyer, exempt des gardes du corps du roi sous la charge du comte de Tresmes, demeurant rue des Prêtres, paroisse Saint-Séverin, qui avait reçu 7.000 livres pour valeur de son office et 1.000 livres en deniers, reçoit maintenant une maison avec cour et jardin, sise rue de Grenelle à Vaugirard, avec les meubles qu'elle contient, et des terres, prés et vignes estimés à 6.000 livres, ainsi que 1.000 livres en deniers comptants. Louis Beauchamps, bourgeois de Paris, demeurant rue Boutebrie, qui avait eu 8.000 livres par contrat du 21 novembre 1619, reçoit 7.000 livres en deniers comptants. Isabelle Beauchamps et Nicolas Magnat, bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Jacques, se voient attribuer la propriété d'un tiers de maison rue Quincampoix, estimé à 7.000 livres. Nicole Beauchamps et Ponce Sauvage, procureur au Châtelet, reçoivent le second tiers de cette maison, dont le dernier tiers reviendra à Marguerite Beauchamps.