"\n \n \n Origine de l'information :\n \n Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 227 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).\n \n Date de révision :2011\n \n Date de création de la notice :2009\n \n "^^ . . "4 avril 1710"@fr . "\n \n Autre(s) instrument(s) de recherche\n \n Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.\n \n \n "^^ . . . . . "Transport par Jean-Christophe de Cau, demeurant rue du Petit-Lion, à Marguerite Pichon, femme de Denis Hubert, marchande publique, de 350 livres, en déduction des 500 livres qu'il lui doit, à recevoir de M. Pennautier, trésorier général du clergé de France, pour les ouvrages de peinture faits par ledit Cau dans le couvent des Grands-Augustins, somme qui doit être payée dans trois mois suivant les conventions arrêtées entre Cau et les religieux. Jusqu'à l'acquittement des 500 livres, la saisie des meubles dudit Cau, faite à la requête de ladite dame Hubert, demeure valable; les meubles saisis ont été placés sous la garde de François-Olivier Laubarède, avocat au parlement, demeurant rue du Petit-Lion."@fr . . "Transport par Jean-Christophe de Cau, demeurant rue du Petit-Lion, à Marguerite Pichon, femme de Denis Hubert, marchande publique, de 350 livres, en déduction des 500 livres qu'il lui doit, à recevoir de M. Pennautier, trésorier général du clergé de France, pour les ouvrages de peinture faits par ledit Cau dans le couvent des Grands-Augustins, somme qui doit être payée dans trois mois suivant les conventions arrêtées entre Cau et les religieux. Jusqu'à l'acquittement des 500 livres, la saisie des meubles dudit Cau, faite à la requête de ladite dame Hubert, demeure valable; les meubles saisis ont été placés sous la garde de François-Olivier Laubarède, avocat au parlement, demeurant rue du Petit-Lion."@fr . "1710-04-04"^^ . . . .