Transaction entre Pierre Lepautre, sculpteur des bâtiments du roi, et Claude-Charlotte Pion, veuve de Jean-François Lepautre, maître maçon, architecte, dont elle était séparée de biens par sentence du Châtelet du 30 octobre, prononcée le 6 novembre 1686, par laquelle ledit Lepautre, seul héritier du défunt, son frère, par suite des renonciations faites par ses frères et soeurs, abandonne à sa belle-soeur le prix des meubles mentionnés dans l'inventaire après décès de Jean-François Lepautre, en date du 6 août 1703, vendus le 13 août, ainsi que les rentes, obligations, mémoires, mentionnés à l'inventaire, la moitié d'une obligation de 1.725 livres, de Renée de Poix, veuve d'Antoine Lepautre, envers le défunt, et une somme de 300 livres en deniers comptants; moyennant quoi, ladite veuve s'engage à payer les dettes de la succession et les frais d'inhumation, à l'exception d'une rente de 50 livres due 'au sieur et demoiselle Moignard'; quant au douaire de 150 livres de rente, il sera payé à ladite veuve par Pierre Lepautre sur les immeubles de la succession qui seront hypothéqués.
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Transaction entre Pierre Lepautre, sculpteur des bâtiments du roi, et Claude-Charlotte Pion, veuve de Jean-François Lepautre, maître maçon, architecte, dont elle était séparée de biens par sentence du Châtelet du 30 octobre, prononcée le 6 novembre 1686, par laquelle ledit Lepautre, seul héritier du défunt, son frère, par suite des renonciations faites par ses frères et soeurs, abandonne à sa belle-soeur le prix des meubles mentionnés dans l'inventaire après décès de Jean-François Lepautre, en date du 6 août 1703, vendus le 13 août, ainsi que les rentes, obligations, mémoires, mentionnés à l'inventaire, la moitié d'une obligation de 1.725 livres, de Renée de Poix, veuve d'Antoine Lepautre, envers le défunt, et une somme de 300 livres en deniers comptants; moyennant quoi, ladite veuve s'engage à payer les dettes de la succession et les frais d'inhumation, à l'exception d'une rente de 50 livres due 'au sieur et demoiselle Moignard'; quant au douaire de 150 livres de rente, il sera payé à ladite veuve par Pierre Lepautre sur les immeubles de la succession qui seront hypothéqués.
xsd:date
1705-08-25
25 août 1705 - 8 mai 1707
xsd:date
1707-05-08
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
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Informations complémentaires :
À la suite : 1707, 8 mai. Décharge délivrée par Pierre Lepautre à sa belle-soeur pour la remise de la grosse originale d'une obligation de 3.350 livres et de différents exploits et sentences y relatives.
Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 477 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Transaction entre Pierre Lepautre, sculpteur des bâtiments du roi, et Claude-Charlotte Pion, veuve de Jean-François Lepautre, maître maçon, architecte, dont elle était séparée de biens par sentence du Châtelet du 30 octobre, prononcée le 6 novembre 1686, par laquelle ledit Lepautre, seul héritier du défunt, son frère, par suite des renonciations faites par ses frères et soeurs, abandonne à sa belle-soeur le prix des meubles mentionnés dans l'inventaire après décès de Jean-François Lepautre, en date du 6 août 1703, vendus le 13 août, ainsi que les rentes, obligations, mémoires, mentionnés à l'inventaire, la moitié d'une obligation de 1.725 livres, de Renée de Poix, veuve d'Antoine Lepautre, envers le défunt, et une somme de 300 livres en deniers comptants; moyennant quoi, ladite veuve s'engage à payer les dettes de la succession et les frais d'inhumation, à l'exception d'une rente de 50 livres due 'au sieur et demoiselle Moignard'; quant au douaire de 150 livres de rente, il sera payé à ladite veuve par Pierre Lepautre sur les immeubles de la succession qui seront hypothéqués.