Vente par Nicolas-Henri Tardieu, graveur ordinaire du roi, et Marie-Anne Horthemels, sa femme, demeurant rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Benoît, en leurs noms et au nom de Germain-Jacques Le Coq, fils mineur d'un premier lit de ladite dame Horthemels, à Pierre Berthucat, bourgeois de Paris, et Marguerite Hebert, sa femme, demeurant rue des Mathurins, d'une maison sise rue Saint-Hyacinthe et Saint-Thomas, à pan coupé vers la rue du faubourg Saint-Jacques, provenant de la succession de Germain Le Coq, maître pâtissier de la bouche du roi, premier mari de ladite Marie-Anne Horthemels, après estimation faite par Jean-Baptiste Loir, juré expert et entrepreneur des bâtiments du roi, par devant Jacques-Charles Lebrun, greffier de tribunal, le 28 janvier 1718, moyennant la somme de 4.700 livres.
http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/recordResource/041245-c1p6t75um8gj-wpbsvxer1k7h an entity of type: RecordResource
Vente par Nicolas-Henri Tardieu, graveur ordinaire du roi, et Marie-Anne Horthemels, sa femme, demeurant rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Benoît, en leurs noms et au nom de Germain-Jacques Le Coq, fils mineur d'un premier lit de ladite dame Horthemels, à Pierre Berthucat, bourgeois de Paris, et Marguerite Hebert, sa femme, demeurant rue des Mathurins, d'une maison sise rue Saint-Hyacinthe et Saint-Thomas, à pan coupé vers la rue du faubourg Saint-Jacques, provenant de la succession de Germain Le Coq, maître pâtissier de la bouche du roi, premier mari de ladite Marie-Anne Horthemels, après estimation faite par Jean-Baptiste Loir, juré expert et entrepreneur des bâtiments du roi, par devant Jacques-Charles Lebrun, greffier de tribunal, le 28 janvier 1718, moyennant la somme de 4.700 livres.
xsd:date
1718-10-23
23 octobre 1718
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
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Informations complémentaires :
Pièces jointes : 1716, 24 octobre. Sentence de la prévôté de Paris autorisant ledit Tardieu et sa femme de vendre les immeubles de la succession Le Coq.
1717, 1er septembre. Sentence de la prévôté, autorisant ledit Tardieu et sa femme à vendre les maisons de la place aux Veaux et de la porte Saint-Jacques, à un prix inférieur à l'estimation qui en a été faite.
Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 388 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Vente par Nicolas-Henri Tardieu, graveur ordinaire du roi, et Marie-Anne Horthemels, sa femme, demeurant rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Benoît, en leurs noms et au nom de Germain-Jacques Le Coq, fils mineur d'un premier lit de ladite dame Horthemels, à Pierre Berthucat, bourgeois de Paris, et Marguerite Hebert, sa femme, demeurant rue des Mathurins, d'une maison sise rue Saint-Hyacinthe et Saint-Thomas, à pan coupé vers la rue du faubourg Saint-Jacques, provenant de la succession de Germain Le Coq, maître pâtissier de la bouche du roi, premier mari de ladite Marie-Anne Horthemels, après estimation faite par Jean-Baptiste Loir, juré expert et entrepreneur des bâtiments du roi, par devant Jacques-Charles Lebrun, greffier de tribunal, le 28 janvier 1718, moyennant la somme de 4.700 livres.