1484 (n. st.), 10 février. Attestation pour Pierre Sandrin, foulon de draps à Gonesse, par Jeanne, veuve de Jean Tranchant demeurant à Paris rue du Coq, selon laquelle Robin Lappie, dont elle a été garde-malade trois ans auparavant, a été transporté de la maison de Jean Lambert, dit Mallerbe, à Paris, à celle de Pierre Sandrin, qui a reçu de Lappie, en rétribution de ses soins, un moulin près de Gonesse.

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1484 (n. st.), 10 février. Attestation pour Pierre Sandrin, foulon de draps à Gonesse, par Jeanne, veuve de Jean Tranchant demeurant à Paris rue du Coq, selon laquelle Robin Lappie, dont elle a été garde-malade trois ans auparavant, a été transporté de la maison de Jean Lambert, dit Mallerbe, à Paris, à celle de Pierre Sandrin, qui a reçu de Lappie, en rétribution de ses soins, un moulin près de Gonesse. 
xsd:date 1484-02-10 
10 février 1484 - 14 février 1484 
xsd:date 1484-02-14 
rdf:XMLLiteral Informations complémentaires : A la suite : s.d. Attestation pour Pierre Sandrin par Jean Hemot dit de Limay, foulon de draps à Paris rue du Four, selon laquelle Robin Lappie était logé et nourri par Pierre Sandrin, à Saint-Germain-lès-Couilly (Saint-Germain-sur-Morin, Yvelines) neuf ou dix ans auparavant. Le moulin donné en rétribution à Pierre Sandrin a été repris par la suite par Regnault Lappie, fils de Robin Lappie. - À la suite et au dos : 1484 (n. st.), 14 février. Attestation pour Pierre Sandrin par Jean Lambert dit Mallerbe selon laquelle Robin Lappie était gardé par Pierre Sandrin en échange d'un moulin donné par Lappie à Sandrin. Acte détérioré par l'humidité, en partie déchiré et effacé. Origine de l'information : Relevé de minutes du XVe siècle, études VIII, XLIX, LXI, CXXII, par le personnel du Minutier central, 2004-2010 (base de données migrée : voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de création de la notice :2010  
1484 (n. st.), 10 février. Attestation pour Pierre Sandrin, foulon de draps à Gonesse, par Jeanne, veuve de Jean Tranchant demeurant à Paris rue du Coq, selon laquelle Robin Lappie, dont elle a été garde-malade trois ans auparavant, a été transporté de la maison de Jean Lambert, dit Mallerbe, à Paris, à celle de Pierre Sandrin, qui a reçu de Lappie, en rétribution de ses soins, un moulin près de Gonesse. 

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