Inventaire après décès de Louise Desdusfans/Esenffans, veuve de Jean Cordier, maître fourreur, rue de la Juiverie, à l'enseigne de la Bannière de France, paroisse Saint-Germain-le-Vieil ou Sainte-Madeleine, à la requête de Christophe Cordier, fourreur de robes, demeurant rue Saint-Honoré, près la Croix du Tiroir (=Trahoir ), en son nom, de Henri Aulbin, maître tailleur d’habits, bourgeois de Paris, de Jacques de La Ruelle, maître pâtissier à Paris, demeurant rue Vieille-Draperie, en la maison où pend pour enseigne le Petit Palais, au nom et comme exécuteurs du testament de la défunte. Et encore ledit Aulbin, comme se disant avoir charge de Henri Cordier, mineur. Lesdits Christophe et Henri Cordier, frères, habiles à se dire héritiers de la défunte leur mère. Les biens étant en une chambre des appartenances d’une maison sise à Paris, rue de la Juiverie, où pend pour enseigne la Bannière de France, en laquelle la défunte est décédée.
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Inventaire après décès de Louise Desdusfans/Esenffans, veuve de Jean Cordier, maître fourreur, rue de la Juiverie, à l'enseigne de la Bannière de France, paroisse Saint-Germain-le-Vieil ou Sainte-Madeleine, à la requête de Christophe Cordier, fourreur de robes, demeurant rue Saint-Honoré, près la Croix du Tiroir (=Trahoir ), en son nom, de Henri Aulbin, maître tailleur d’habits, bourgeois de Paris, de Jacques de La Ruelle, maître pâtissier à Paris, demeurant rue Vieille-Draperie, en la maison où pend pour enseigne le Petit Palais, au nom et comme exécuteurs du testament de la défunte. Et encore ledit Aulbin, comme se disant avoir charge de Henri Cordier, mineur. Lesdits Christophe et Henri Cordier, frères, habiles à se dire héritiers de la défunte leur mère. Les biens étant en une chambre des appartenances d’une maison sise à Paris, rue de la Juiverie, où pend pour enseigne la Bannière de France, en laquelle la défunte est décédée.
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1561-05-15
15 mai 1561
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Origine de l'information :
Relevé d'inventaires après décès, 1560-1610 (3454 actes), par Martine Constans, 2001-2009 (base de données migrée : voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
ou
Dépouillements réalisés par les bénévoles de "Projet Familles parisiennes.org/Au-delà de l'état-civil" : analyses de liasses d'inventaires après décès des XVIe et premier XVIIe siècles, par Jean-François Viel, Quentin Gravier, Pascal Ganier, Anthony Lachaud, Jean-Dominique Pellegrini et Christophe de Mazancourt, avec l'aide de Mireille Gille, Nicole Chantelou et Jacques Le Marois pour la mise en forme.
Date de création de la notice : 2004
Date de révision : 2021 (Marie-Françoise Limon-Bonnet)
Inventaire après décès de Louise Desdusfans/Esenffans, veuve de Jean Cordier, maître fourreur, rue de la Juiverie, à l'enseigne de la Bannière de France, paroisse Saint-Germain-le-Vieil ou Sainte-Madeleine, à la requête de Christophe Cordier, fourreur de robes, demeurant rue Saint-Honoré, près la Croix du Tiroir (=Trahoir ), en son nom, de Henri Aulbin, maître tailleur d’habits, bourgeois de Paris, de Jacques de La Ruelle, maître pâtissier à Paris, demeurant rue Vieille-Draperie, en la maison où pend pour enseigne le Petit Palais, au nom et comme exécuteurs du testament de la défunte. Et encore ledit Aulbin, comme se disant avoir charge de Henri Cordier, mineur. Lesdits Christophe et Henri Cordier, frères, habiles à se dire héritiers de la défunte leur mère. Les biens étant en une chambre des appartenances d’une maison sise à Paris, rue de la Juiverie, où pend pour enseigne la Bannière de France, en laquelle la défunte est décédée.
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Desdusfans, Louise
Cordier, Jean