Transport par Jeanne-Françoise Tonlieu, veuve de Pierre Senelle, sculpteur des bâtiments du roi, demeurant rue de Thorigny, à Jean-Baptiste Taha, fourrier des chevau-légers de la garde ordinaire du corps du roi, demeurant rue Férou, d'une créance de 936 livres 2 sols 8 deniers, à elle due par Marie-Catherine Ribier, veuve de Jean de Reynier de Reignac, marquis de La Férode, moyennant pareille somme qui lui a été versée par ledit Taha en présence de Pierre-Antoine-Jules Senelle, maître sculpteur, demeurant rue de Thorigny, son fils.
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Transport par Jeanne-Françoise Tonlieu, veuve de Pierre Senelle, sculpteur des bâtiments du roi, demeurant rue de Thorigny, à Jean-Baptiste Taha, fourrier des chevau-légers de la garde ordinaire du corps du roi, demeurant rue Férou, d'une créance de 936 livres 2 sols 8 deniers, à elle due par Marie-Catherine Ribier, veuve de Jean de Reynier de Reignac, marquis de La Férode, moyennant pareille somme qui lui a été versée par ledit Taha en présence de Pierre-Antoine-Jules Senelle, maître sculpteur, demeurant rue de Thorigny, son fils.
xsd:date
1719-07-15
15 juillet 1719
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 524 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Transport par Jeanne-Françoise Tonlieu, veuve de Pierre Senelle, sculpteur des bâtiments du roi, demeurant rue de Thorigny, à Jean-Baptiste Taha, fourrier des chevau-légers de la garde ordinaire du corps du roi, demeurant rue Férou, d'une créance de 936 livres 2 sols 8 deniers, à elle due par Marie-Catherine Ribier, veuve de Jean de Reynier de Reignac, marquis de La Férode, moyennant pareille somme qui lui a été versée par ledit Taha en présence de Pierre-Antoine-Jules Senelle, maître sculpteur, demeurant rue de Thorigny, son fils.