"Vente par Marie-Élisabeth Trotin-Désert, veuve de Pierre Jacquot de Villeneuve, architecte du roi et de ses académies (sic), juré expert pour la ville, prévôté et vicomté de Paris, demeurant rue Grenier-Saint-Lazare, agissant en son nom et comme tutrice de Jean-Baptiste, Marie-Catherine-Reine, Louise, Catherine-Jacqueline-Victoire et André-Pierre Jacquot de Villeneuve, ses cinq enfants mineurs, à Jean-Baptiste Puisieux, architecte, bourgeois de Paris, demeurant carrefour Saint-Benoit, de l'un des offices d'experts jurés de la ville de Paris créés héréditaires par l'édit du mois de mai 1690, dont le défunt était pourvu par lettres de provisions expédiées en grande chancellerie le 6 octobre 1718, enregistrées le 1er août 1719 et dans lequel il a été reçu par sentence du Châtelet du 15 octobre 1718, vente faite moyennant 2.300 livres, déposées entre les mains du notaire, jusqu'à ce que ledit Puisieux ait obtenu ses lettres de provisions d'office."@fr . "1733-02-09"^^ . . . "1733-03-07"^^ . "\n \n Autre(s) instrument(s) de recherche\n \n Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.\n \n \n "^^ . . "\n \n \n Informations complémentaires :\n \n Pièce jointe : 1730, 23 février. Expédition des lettres du prévôt de Paris faisant connaître la sentence du lieutenant civil du 20 février 1731 par laquelle est homologué l'avis des parents et amis des cinq enfants mineurs de Pierre Jacquot de Villeneuve, à savoir : Claude Jacquot de Villeneuve, sculpteur du roi, grand oncle paternel, Jean-Louis Pommery, marchand orfèvre joaillier, cousin issu de germain paternel, Jacques Billeheust, écuyer, sieur de Bellesfort, avocat au parlement, grand-oncle maternel, Guillaume Joyneau, maître maçon entrepreneur, oncle maternel, Symphorien Désert, bourgeois de Paris, cousin germain maternel, Joseph-Antoine Dubois, bourgeois de Paris, cousin germain maternel, Louis Fontaine, conseiller du roi, ancien contrôleur des rentes, lesquels autorisent la veuve dudit Jacquot de Villeneuve, à vendre l'office d'architecte juré expert pour 1.500 livres 'et plus si faire se peut', à faire reconstruire la seconde maison, sise rue Grenier-Saint-Lazare, acquise par elle et son mari et dont la démolition pour vétusté a été interrompue par la mort dudit Jacquot de Villeneuve (le devis et marché de reconstruction a été passé entre ladite veuve et les entrepreneurs le 29 novembre 1730 devant Guérin), enfin à emprunter 8.000 livres, soit sous forme d'obligation, soit sous forme de constitution de rente.\n Cette somme et celle que ladite dame de Villeneuve retirera de la vente de l'office de juré expert, devront servir à payer la reconstruction de la maison après la réception et l'estimation des travaux par le sieur Loir l'aîné, expert désigné d'office. Expédition collationnée par les notaires.\n À la suite de l'acte de vente : 1733, 7 mars. Quittance par la dame Jacquot de Villeneuve à Jean-Baptiste Puisieux qui a obtenu ses lettres de provisions, de la somme de 2.300 livres.\n \n Origine de l'information :\n \n Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 95 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).\n \n Date de révision :2011\n \n Date de création de la notice :2009\n \n "^^ . . . . "Vente par Marie-Élisabeth Trotin-Désert, veuve de Pierre Jacquot de Villeneuve, architecte du roi et de ses académies (sic), juré expert pour la ville, prévôté et vicomté de Paris, demeurant rue Grenier-Saint-Lazare, agissant en son nom et comme tutrice de Jean-Baptiste, Marie-Catherine-Reine, Louise, Catherine-Jacqueline-Victoire et André-Pierre Jacquot de Villeneuve, ses cinq enfants mineurs, à Jean-Baptiste Puisieux, architecte, bourgeois de Paris, demeurant carrefour Saint-Benoit, de l'un des offices d'experts jurés de la ville de Paris créés héréditaires par l'édit du mois de mai 1690, dont le défunt était pourvu par lettres de provisions expédiées en grande chancellerie le 6 octobre 1718, enregistrées le 1er août 1719 et dans lequel il a été reçu par sentence du Châtelet du 15 octobre 1718, vente faite moyennant 2.300 livres, déposées entre les mains du notaire, jusqu'à ce que ledit Puisieux ait obtenu ses lettres de provisions d'office."@fr . . . . "9 février 1733 - 7 mars 1733"@fr .