Quittance par François Va. maître maçon entrepreneur, demeurant rue des Ciseaux, Marie-Madeleine Pecoul, veuve de Nicolas Rougeot, maître menuisier, demeurant rue du Bouloi, Michel Lafontaine, maître charpentier, demeurant grande rue du faubourg Saint-Jacques, Martin-Jacques Stangué, maître sculpteur, demeurant rue de la Croix, tant en son nom qu'à cause de la société qui existait entre lui et défunt Antoine Fauquier, maître sculpteur, Claude Henrion, maître marbrier, demeurant rue Meslay, à Jean-Jacques Regnaud, comte de Barres, représenté par Jean-François de Sourches, conseiller rapporteur référendaire à la chancellerie du Palais, de 16.417 livres 2 sols 6 deniers qui leur restaient dues sur le prix des travaux faits dans une grande et une petite maisons reconstruites rue Saint-Thomas-du-Louvre, suivant le devis et marché passé devant Boivin le 28 juillet 1735, et le procès-verbal de réception par Denis Quirot, architecte juré expert, assisté d'Étienne-François Quirot, greffier des bâtiments, en date du 9 avril 1738, et sur le prix d'autres travaux, peu importants, dans d'autres maisons appartenant audit comte de Barres.

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Quittance par François Va. maître maçon entrepreneur, demeurant rue des Ciseaux, Marie-Madeleine Pecoul, veuve de Nicolas Rougeot, maître menuisier, demeurant rue du Bouloi, Michel Lafontaine, maître charpentier, demeurant grande rue du faubourg Saint-Jacques, Martin-Jacques Stangué, maître sculpteur, demeurant rue de la Croix, tant en son nom qu'à cause de la société qui existait entre lui et défunt Antoine Fauquier, maître sculpteur, Claude Henrion, maître marbrier, demeurant rue Meslay, à Jean-Jacques Regnaud, comte de Barres, représenté par Jean-François de Sourches, conseiller rapporteur référendaire à la chancellerie du Palais, de 16.417 livres 2 sols 6 deniers qui leur restaient dues sur le prix des travaux faits dans une grande et une petite maisons reconstruites rue Saint-Thomas-du-Louvre, suivant le devis et marché passé devant Boivin le 28 juillet 1735, et le procès-verbal de réception par Denis Quirot, architecte juré expert, assisté d'Étienne-François Quirot, greffier des bâtiments, en date du 9 avril 1738, et sur le prix d'autres travaux, peu importants, dans d'autres maisons appartenant audit comte de Barres. 
xsd:date 1738-06-19 
19 juin 1738 - 22 juin 1738 
xsd:date 1738-06-22 
rdf:XMLLiteral Autre(s) instrument(s) de recherche Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.  
rdf:XMLLiteral Informations complémentaires : À la suite : 1738, 20 juin. Quittance par François Pernot, maître peintre, demeurant rue du Mail, et Nicolas Patou, maître peintre, de 1.566 livres 1 sol 6 deniers 'pour tous les ouvrages de peinture, dorure et tableaux, faits et fournis par ledit Pernot' dans les deux maisons de la rue Saint-Thomas-du-Louvre, en exécution du devis et marché du 28 juillet 1735 et suivant le procès-verbal de réception du 9 avril 1738. 1738, 22 juin. Quittance par Marie Duval, veuve de Jacques Hunou, maître couvreur, Claude Meunier, maître vitrier, Louis Launoy, maître paveur, Edme Halliot, maître plombier, de 3.117 livres. Origine de l'information : Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 700 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de révision :2011 Date de création de la notice :2009  
Quittance par François Va. maître maçon entrepreneur, demeurant rue des Ciseaux, Marie-Madeleine Pecoul, veuve de Nicolas Rougeot, maître menuisier, demeurant rue du Bouloi, Michel Lafontaine, maître charpentier, demeurant grande rue du faubourg Saint-Jacques, Martin-Jacques Stangué, maître sculpteur, demeurant rue de la Croix, tant en son nom qu'à cause de la société qui existait entre lui et défunt Antoine Fauquier, maître sculpteur, Claude Henrion, maître marbrier, demeurant rue Meslay, à Jean-Jacques Regnaud, comte de Barres, représenté par Jean-François de Sourches, conseiller rapporteur référendaire à la chancellerie du Palais, de 16.417 livres 2 sols 6 deniers qui leur restaient dues sur le prix des travaux faits dans une grande et une petite maisons reconstruites rue Saint-Thomas-du-Louvre, suivant le devis et marché passé devant Boivin le 28 juillet 1735, et le procès-verbal de réception par Denis Quirot, architecte juré expert, assisté d'Étienne-François Quirot, greffier des bâtiments, en date du 9 avril 1738, et sur le prix d'autres travaux, peu importants, dans d'autres maisons appartenant audit comte de Barres. 

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