Déclaration suivant laquelle Jérôme Amand, maître joueur d'instruments, demeurant rue des Gravilliers, et Louise Jendot, sa femme, reconnaissent avoir médit de Thomas Capitaine, étalier-boucher, demeurant rue des Gravilliers, de Massiette Pierre, sa femme, et d'Adrienne Capitaine, leur fille, et versement de 8 livres de réparation, moyennant lesquelles les parties offensées se désistent de leur plainte.

http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/recordResource/041327-c1p6tzv9xf77--1qt3zadq6g9zj an entity of type: RecordResource

Déclaration suivant laquelle Jérôme Amand, maître joueur d'instruments, demeurant rue des Gravilliers, et Louise Jendot, sa femme, reconnaissent avoir médit de Thomas Capitaine, étalier-boucher, demeurant rue des Gravilliers, de Massiette Pierre, sa femme, et d'Adrienne Capitaine, leur fille, et versement de 8 livres de réparation, moyennant lesquelles les parties offensées se désistent de leur plainte. 
xsd:date 1627-03-16 
16 mars 1627 
rdf:XMLLiteral Autre(s) instrument(s) de recherche Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome I, Paris, Archives nationales, 1967, XVI-1054 p.  
rdf:XMLLiteral Origine de l'information : Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome I [études I à X, 1763 actes], Paris, Archives nationales, 1967, p. 474 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de révision :2011 Date de création de la notice :2009  
Déclaration suivant laquelle Jérôme Amand, maître joueur d'instruments, demeurant rue des Gravilliers, et Louise Jendot, sa femme, reconnaissent avoir médit de Thomas Capitaine, étalier-boucher, demeurant rue des Gravilliers, de Massiette Pierre, sa femme, et d'Adrienne Capitaine, leur fille, et versement de 8 livres de réparation, moyennant lesquelles les parties offensées se désistent de leur plainte. 

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