. "\n \n Autre(s) instrument(s) de recherche\n \n Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome I, Paris, Archives nationales, 1967, XVI-1054 p.\n \n \n "^^ . "\n \n \n Informations complémentaires :\n \n En marge :\n 1637, 17 septembre. Mention de la remise de la démission de Legay en faveur de Jean Lecoeur.\n Pièce jointe :\n 1644, 24 mai. Supplique de Jean Legay, maître joueur d'instruments, au lieutenant civil pour que lui soit délivré une nouvelle grosse, la première ayant été adhirée.\n \n Origine de l'information :\n \n Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome I [études I à X, 1763 actes], Paris, Archives nationales, 1967, p. 259 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).\n \n Date de révision :2011\n \n Date de création de la notice :2009\n \n "^^ . . "10 septembre 1637 - 24 mai 1644"@fr . "1644-05-24"^^ . "Vente par Jean Legay, maître joueur d'instruments, demeurant rue Grenier-Saint-Lazare, à Jean Lecoeur, joueur d'instruments, demeurant à Charenton, de son office de sacqueboute ordinaire de la grande écurie du roi, à charge de s'y faire recevoir et pour en jouir ainsi que le fait Legay depuis le mois d'avril 1612. Cette vente est faite moyennant 40 livres de rente à prendre sur la maison de la Fleur de lis à Charenton, où il demeure avec Perrette Bellu, sa femme, et sur quatre arpents de terre à Charenton."@fr . . . . . "1637-09-10"^^ . . "Vente par Jean Legay, maître joueur d'instruments, demeurant rue Grenier-Saint-Lazare, à Jean Lecoeur, joueur d'instruments, demeurant à Charenton, de son office de sacqueboute ordinaire de la grande écurie du roi, à charge de s'y faire recevoir et pour en jouir ainsi que le fait Legay depuis le mois d'avril 1612. Cette vente est faite moyennant 40 livres de rente à prendre sur la maison de la Fleur de lis à Charenton, où il demeure avec Perrette Bellu, sa femme, et sur quatre arpents de terre à Charenton."@fr . . .