Constitution par Marie Brisset, veuve de Pierre Magnier, maître peintre et sculpteur, demeurant rue Darnétal à l'enseigne de la 'Sainte-Trinité', et par Laurent Magnier, maître peintre et soulpteur, demeurant rue Saint-Martin, en la maison de la 'Fleur de Lis', paroisse Saint-Laurent, au profit de Catherine Cresson, (1) veuve de Jean Hadan, maçon, demeurant rue des Gravilliers, de 36 livres tournois de rente au principal de 648 livres tournois. La rente est garantie par une maison sise à la Villeneuve-sur-Gravois, rue Beauregard, à l'enseigne de l''Armoirie des peintres et sculpteurs', et sur la moitié d'une maison sise rue du Grand-Huleu, autrefois appelée La Chenevette qui danse, appartenant à ladite veuve et à son fils aîné Laurent.
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Constitution par Marie Brisset, veuve de Pierre Magnier, maître peintre et sculpteur, demeurant rue Darnétal à l'enseigne de la 'Sainte-Trinité', et par Laurent Magnier, maître peintre et soulpteur, demeurant rue Saint-Martin, en la maison de la 'Fleur de Lis', paroisse Saint-Laurent, au profit de Catherine Cresson, (1) veuve de Jean Hadan, maçon, demeurant rue des Gravilliers, de 36 livres tournois de rente au principal de 648 livres tournois. La rente est garantie par une maison sise à la Villeneuve-sur-Gravois, rue Beauregard, à l'enseigne de l''Armoirie des peintres et sculpteurs', et sur la moitié d'une maison sise rue du Grand-Huleu, autrefois appelée La Chenevette qui danse, appartenant à ladite veuve et à son fils aîné Laurent.
xsd:date
1645-03-12
12 mars 1645
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant les peintres, sculpteurs et graveurs au XVIIe siècle (1600-1650), par Marie-Antoinette Fleury, tome I, Paris, S.E.V.P.E.N, 1969, LXXXIV-974 p.
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Informations complémentaires :
La veuve Magnier a déclaré qu'elle veut employer cette somme de 648 livres au payement des dettes de sa communauté et des frais qu'a entraînés l'accident arrivé en leur maison : un apprenti y fut tué fortuitement d'un coup de pistolet. L'accident a donné lieu à un procès qui vient d'être jugé la veille et par lequel Pierre Magnier le jeune, l'un de ses enfants mineurs, est condamné à payer à Antoine Avard, père de l'apprenti, la somme de 100 livres de dommages et intérêts, et 100 livres pour les épices. .
Compléments de description : (1) Les veuves Magnier et Hadan ne savent écrire ni signer.
Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant les peintres, sculpteurs et graveurs au XVIIe siècle (1600-1650) [études I à X, 1955 actes], par Marie-Antoinette Fleury, tome I, Paris, S.E.V.P.E.N, 1969, p. 464 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2010
Date de création de la notice : 2007
Constitution par Marie Brisset, veuve de Pierre Magnier, maître peintre et sculpteur, demeurant rue Darnétal à l'enseigne de la 'Sainte-Trinité', et par Laurent Magnier, maître peintre et soulpteur, demeurant rue Saint-Martin, en la maison de la 'Fleur de Lis', paroisse Saint-Laurent, au profit de Catherine Cresson, (1) veuve de Jean Hadan, maçon, demeurant rue des Gravilliers, de 36 livres tournois de rente au principal de 648 livres tournois. La rente est garantie par une maison sise à la Villeneuve-sur-Gravois, rue Beauregard, à l'enseigne de l''Armoirie des peintres et sculpteurs', et sur la moitié d'une maison sise rue du Grand-Huleu, autrefois appelée La Chenevette qui danse, appartenant à ladite veuve et à son fils aîné Laurent.
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Avard, Antoine
Brisset, Marie
Cresson, Catherine
Hadan (veuve)
Hadan, Jean
Magnier (veuve)
Magnier, Laurent
Magnier, Pierre
Magnier, Pierre (le jeune)
Magnier, Pierre (le jeune)
Magnier, Pierre (le jeune)