. "1714-04-18"^^ . . . "\n \n Autre(s) instrument(s) de recherche\n \n Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.\n \n \n "^^ . "\n \n \n Informations complémentaires :\n \n La pièce de terre appartenait audit Cau en vertu de la vente qui lui en avait été faite par Jean-Rodolphe Chamiet, médecin suisse, et Marie-Catherine Cau, sa femme, fille dudit Cau, le 10 avril 1714, devant Cleret.\n \n Origine de l'information :\n \n Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 227 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).\n \n Date de révision :2011\n \n Date de création de la notice :2009\n \n "^^ . . . . . "Vente par Jean-Christophe Cau et Anne Locque, sa femme, demeurant faubourg Saint-Jacques, à Jean Pingault, demeurant rue Neuve-Saint-Merri, de 84 perches de terre situées à Saint-Cloud, au lieudit les Fortes-Terres, sur lesquelles il y a un trou de carrière, et y compris les pierres et moellons qui s'y trouvent, moyennant 420 livres, dont quittance. La pièce de terre appartenait audit Cau en vertu de la vente qui lui en avait été faite par Jean-Rodolphe Chamiet, médecin suisse, et Marie-Catherine Cau, sa femme, fille dudit Cau, le 10 avril 1714, devant Cleret."@fr . . "Vente par Jean-Christophe Cau et Anne Locque, sa femme, demeurant faubourg Saint-Jacques, à Jean Pingault, demeurant rue Neuve-Saint-Merri, de 84 perches de terre situées à Saint-Cloud, au lieudit les Fortes-Terres, sur lesquelles il y a un trou de carrière, et y compris les pierres et moellons qui s'y trouvent, moyennant 420 livres, dont quittance. La pièce de terre appartenait audit Cau en vertu de la vente qui lui en avait été faite par Jean-Rodolphe Chamiet, médecin suisse, et Marie-Catherine Cau, sa femme, fille dudit Cau, le 10 avril 1714, devant Cleret."@fr . . "18 avril 1714"@fr .