Vente par Jean Pasquier, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue Simon-le-Franc, à Jean Lepautre, bourgeois de Paris, et Marie-Louise Pasquier, sa femme, demeurant rue Saint-Julien-des-Ménétriers, de 81 toises d'un grand terrain situé rue de Charenton, faubourg Saint-Antoine, tenant d'un côté au jardin de la maison appelée l'hôtel de Bel-Air, de l'autre et par derrière à un chantier appartenant aussi au vendeur, moyennant 3.645 livres.
http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/recordResource/041334-c1p6u1n1kx3f-12ctl1r5vl76y an entity of type: RecordResource
Vente par Jean Pasquier, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue Simon-le-Franc, à Jean Lepautre, bourgeois de Paris, et Marie-Louise Pasquier, sa femme, demeurant rue Saint-Julien-des-Ménétriers, de 81 toises d'un grand terrain situé rue de Charenton, faubourg Saint-Antoine, tenant d'un côté au jardin de la maison appelée l'hôtel de Bel-Air, de l'autre et par derrière à un chantier appartenant aussi au vendeur, moyennant 3.645 livres.
xsd:date
1720-06-05
5 juin 1720
rdf:XMLLiteral
Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
rdf:XMLLiteral
Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 470 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Vente par Jean Pasquier, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue Simon-le-Franc, à Jean Lepautre, bourgeois de Paris, et Marie-Louise Pasquier, sa femme, demeurant rue Saint-Julien-des-Ménétriers, de 81 toises d'un grand terrain situé rue de Charenton, faubourg Saint-Antoine, tenant d'un côté au jardin de la maison appelée l'hôtel de Bel-Air, de l'autre et par derrière à un chantier appartenant aussi au vendeur, moyennant 3.645 livres.