Obligation de Claude-Louis d'Aviler, architecte, demeurant quai d'Orléans, seul et unique héritier de Claude d'Aviler, bourgeois de Paris, et de Madeleine Dery, ses père et mère, envers Jacques Baudry-Delamarche, bourgeois de Paris, au nom et comme procureur de Laurent-Augustin Socquart, directeur des aides à Carentan, de la somme de 2.000 livres que ledit d'Aviler s'engage à employer au remboursement d'une somme égale qui était due au sieur Moreau par lesdits époux d'Aviler, ses père et mère.
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Obligation de Claude-Louis d'Aviler, architecte, demeurant quai d'Orléans, seul et unique héritier de Claude d'Aviler, bourgeois de Paris, et de Madeleine Dery, ses père et mère, envers Jacques Baudry-Delamarche, bourgeois de Paris, au nom et comme procureur de Laurent-Augustin Socquart, directeur des aides à Carentan, de la somme de 2.000 livres que ledit d'Aviler s'engage à employer au remboursement d'une somme égale qui était due au sieur Moreau par lesdits époux d'Aviler, ses père et mère.
xsd:date
1745-07-12
12 juillet 1745
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 9 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Obligation de Claude-Louis d'Aviler, architecte, demeurant quai d'Orléans, seul et unique héritier de Claude d'Aviler, bourgeois de Paris, et de Madeleine Dery, ses père et mère, envers Jacques Baudry-Delamarche, bourgeois de Paris, au nom et comme procureur de Laurent-Augustin Socquart, directeur des aides à Carentan, de la somme de 2.000 livres que ledit d'Aviler s'engage à employer au remboursement d'une somme égale qui était due au sieur Moreau par lesdits époux d'Aviler, ses père et mère.