"\n \n \n Origine de l'information :\n \n Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 331 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).\n \n Date de révision :2011\n \n Date de création de la notice :2009\n \n "^^ . . "23 février 1704"@fr . . . . "Mainlevée par Elisabeth Lofficial, veuve de Jean Bourdois, marchand chasublier, demeurant rue du Sépulcre, héritière des meubles de Marie-Elisabeth Bourdois, sa fille, femme décédée de François Marot, des oppositions et saisies-arrêts faites à sa requête sur ledit Marot, celui-ci lui ayant remis une obligation de 245 livres qu'elle avait passée à son profit le 29 février 1696, devant Dupont et Roger, et renonçant à l'usufruit de la moitié de cette somme qui lui revient en vertu de son contrat de mariage et à la propriété de l'autre moitié, avec cette réserve, que la renonciation serait annulée au cas où la comparante viendrait à former une nouvelle opposition contre lui."@fr . . "\n \n Autre(s) instrument(s) de recherche\n \n Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.\n \n \n "^^ . . "1704-02-23"^^ . "Mainlevée par Elisabeth Lofficial, veuve de Jean Bourdois, marchand chasublier, demeurant rue du Sépulcre, héritière des meubles de Marie-Elisabeth Bourdois, sa fille, femme décédée de François Marot, des oppositions et saisies-arrêts faites à sa requête sur ledit Marot, celui-ci lui ayant remis une obligation de 245 livres qu'elle avait passée à son profit le 29 février 1696, devant Dupont et Roger, et renonçant à l'usufruit de la moitié de cette somme qui lui revient en vertu de son contrat de mariage et à la propriété de l'autre moitié, avec cette réserve, que la renonciation serait annulée au cas où la comparante viendrait à former une nouvelle opposition contre lui."@fr . . . .