Constitution par André Perrault, au profit de Gilles Macé, ancien avocat au parlement, de 200 livres de rente, moyennant 4.000 livres; le constituant s'engage à employer cette somme au paiement des 8.000 livres qu' il a empruntées à Antoine Andouillé, bourgeois de Paris (obligation du 27 août 1708 devant Delafosse qui n'en a pas gardé minute).
http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/recordResource/041351-c1p6u5outhfv--4qgwoxhjcwfc an entity of type: RecordResource
Constitution par André Perrault, au profit de Gilles Macé, ancien avocat au parlement, de 200 livres de rente, moyennant 4.000 livres; le constituant s'engage à employer cette somme au paiement des 8.000 livres qu' il a empruntées à Antoine Andouillé, bourgeois de Paris (obligation du 27 août 1708 devant Delafosse qui n'en a pas gardé minute).
xsd:date
1711-08-06
6 août 1711
rdf:XMLLiteral
Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
rdf:XMLLiteral
Informations complémentaires :
Biens affectés par André Perrault au payement de la rente : une grande maison, composée de deux corps de logis, sise rue Beaurepaire, que le constituant a fait bâtir sur l'emplacement de deux maisons attenantes qu'il avait acquises, l'une de Marie-Thérèse Vaultier de Moyencourt, femme de Jacques de Lamothe, le 22 février 1707 (ci-dessus), l'autre de Jean Dubreuil, sieur de Sorval, le 26 mars 1707 (ci-dessus), une maison sise rue du Roule provenant de la succession de Jean Perrault, contrôleur des bâtiments du roi, frère du constituant, louée 1.700 livres, une maison sise rue des Petits- Champs, près de la place des Victoires, provenant de la même succession, louée 600 livres au fermier du tabac, une maison sise rue du Roule, acquise par le constituant de Jacques de Saint-Blimont, le 28 mars 1703 (ci-dessus), louée 1.300 livres, une maison à l'enseigne de la Belle alliance sise à Versailles, rue des Récollets, devant le couvent, provenant de la succession de Jean Perrault, louée 1.600 livres, plusieurs rentes et généralement tous ses biens, libres de toute hypothèque, à l'exception de 20.000 livres environ que le constituant doit à plusieurs particuliers, et des 8.000 livres dues au sieur Andouillé.
Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 155 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Constitution par André Perrault, au profit de Gilles Macé, ancien avocat au parlement, de 200 livres de rente, moyennant 4.000 livres; le constituant s'engage à employer cette somme au paiement des 8.000 livres qu' il a empruntées à Antoine Andouillé, bourgeois de Paris (obligation du 27 août 1708 devant Delafosse qui n'en a pas gardé minute).