Deux quittances par Charles de La Fosse et Élisabeth Béguin, sa femme (lui, en son nom et comme procureur de Marie-Anne Béguin), au garde du trésor royal, l'une de 4.000 livres, en remboursement de 200 livres de rente sur les aides et gabelles, l'autre par les mêmes et par Anne Béguin, femme de Jacques Lombard, de 4.660 livres en remboursement de 233 livres de même rente. Lesdites rentes provenant de la succession de Marie Tartarin, veuve de Louis Béguin, mère desdites dames.
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Deux quittances par Charles de La Fosse et Élisabeth Béguin, sa femme (lui, en son nom et comme procureur de Marie-Anne Béguin), au garde du trésor royal, l'une de 4.000 livres, en remboursement de 200 livres de rente sur les aides et gabelles, l'autre par les mêmes et par Anne Béguin, femme de Jacques Lombard, de 4.660 livres en remboursement de 233 livres de même rente. Lesdites rentes provenant de la succession de Marie Tartarin, veuve de Louis Béguin, mère desdites dames.
xsd:date
1714-06-23
23 juin 1714
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 307 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Deux quittances par Charles de La Fosse et Élisabeth Béguin, sa femme (lui, en son nom et comme procureur de Marie-Anne Béguin), au garde du trésor royal, l'une de 4.000 livres, en remboursement de 200 livres de rente sur les aides et gabelles, l'autre par les mêmes et par Anne Béguin, femme de Jacques Lombard, de 4.660 livres en remboursement de 233 livres de même rente. Lesdites rentes provenant de la succession de Marie Tartarin, veuve de Louis Béguin, mère desdites dames.