Obligation de Catherine Dignes, fille majeure, marchande toilière et lingère, demeurant rue Saint-Séverin, envers Éloi Fontaine, peintre de l'académie de Saint-Luc, et Charlotte Deuillet, sa femme, de la somme de 6.000 livres qu'elle leur a empruntée en plusieurs fois pour acheter des marchandises nécessaires à son commerce, et qu'elle s'engage à leur rendre dans un an et un jour, soit en deniers comptants soit en totalité ou partiellement, en toiles et dentelles.

http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/recordResource/041351-c1p6u5pro857-18ih65cvo482s an entity of type: RecordResource

Obligation de Catherine Dignes, fille majeure, marchande toilière et lingère, demeurant rue Saint-Séverin, envers Éloi Fontaine, peintre de l'académie de Saint-Luc, et Charlotte Deuillet, sa femme, de la somme de 6.000 livres qu'elle leur a empruntée en plusieurs fois pour acheter des marchandises nécessaires à son commerce, et qu'elle s'engage à leur rendre dans un an et un jour, soit en deniers comptants soit en totalité ou partiellement, en toiles et dentelles. 
xsd:date 1722-10-25 
25 octobre 1722 
rdf:XMLLiteral Autre(s) instrument(s) de recherche Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.  
rdf:XMLLiteral Origine de l'information : Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 269 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de révision :2011 Date de création de la notice :2009  
Obligation de Catherine Dignes, fille majeure, marchande toilière et lingère, demeurant rue Saint-Séverin, envers Éloi Fontaine, peintre de l'académie de Saint-Luc, et Charlotte Deuillet, sa femme, de la somme de 6.000 livres qu'elle leur a empruntée en plusieurs fois pour acheter des marchandises nécessaires à son commerce, et qu'elle s'engage à leur rendre dans un an et un jour, soit en deniers comptants soit en totalité ou partiellement, en toiles et dentelles. 

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