Compte entre Marguerite Tartarin, veuve de Jean Frémin, marchand bourgeois de Paris, demeurant quai des Orfèvres, et Suzanne Cartaud, femme de René Frémin, tant en son nom que comme procuratrice de son mari, des sommes fournies par lui à sa mère avant son départ pour Madrid et de celles qu'elle-même lui a fournies et prêtées après le départ de son mari; il apparaît que ladite veuve Frémin a reçu 2.022 livres dont elle se déclare redevable envers son fils et sa belle-fille.
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Compte entre Marguerite Tartarin, veuve de Jean Frémin, marchand bourgeois de Paris, demeurant quai des Orfèvres, et Suzanne Cartaud, femme de René Frémin, tant en son nom que comme procuratrice de son mari, des sommes fournies par lui à sa mère avant son départ pour Madrid et de celles qu'elle-même lui a fournies et prêtées après le départ de son mari; il apparaît que ladite veuve Frémin a reçu 2.022 livres dont elle se déclare redevable envers son fils et sa belle-fille.
xsd:date
1727-02-13
13 février 1727
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 438 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Compte entre Marguerite Tartarin, veuve de Jean Frémin, marchand bourgeois de Paris, demeurant quai des Orfèvres, et Suzanne Cartaud, femme de René Frémin, tant en son nom que comme procuratrice de son mari, des sommes fournies par lui à sa mère avant son départ pour Madrid et de celles qu'elle-même lui a fournies et prêtées après le départ de son mari; il apparaît que ladite veuve Frémin a reçu 2.022 livres dont elle se déclare redevable envers son fils et sa belle-fille.