Procuration donnée par Élisabeth Raguenet, veuve de Louis Martin, à Gilles Allou, pour recevoir les arrérages de ses rentes payées par la ville, et abandon par cette dernière audit Allou à cause des 'bonnes manières qu'il a pour luy procurer du soulagement dans ses infirmités et pour la faire vivre commodément', de tous ses revenus, montant à la somme de 343 livres 2 sols 6 deniers, pour en jouir après sa mort, à charge de la nourrir, la loger, l'entretenir, la soigner, puis la faire enterrer après son décès.
http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/recordResource/041352-c1p6u6ci0c6r--1adchnm7ebpo7 an entity of type: RecordResource
Procuration donnée par Élisabeth Raguenet, veuve de Louis Martin, à Gilles Allou, pour recevoir les arrérages de ses rentes payées par la ville, et abandon par cette dernière audit Allou à cause des 'bonnes manières qu'il a pour luy procurer du soulagement dans ses infirmités et pour la faire vivre commodément', de tous ses revenus, montant à la somme de 343 livres 2 sols 6 deniers, pour en jouir après sa mort, à charge de la nourrir, la loger, l'entretenir, la soigner, puis la faire enterrer après son décès.
xsd:date
1736-01-18
18 janvier 1736
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 195 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Procuration donnée par Élisabeth Raguenet, veuve de Louis Martin, à Gilles Allou, pour recevoir les arrérages de ses rentes payées par la ville, et abandon par cette dernière audit Allou à cause des 'bonnes manières qu'il a pour luy procurer du soulagement dans ses infirmités et pour la faire vivre commodément', de tous ses revenus, montant à la somme de 343 livres 2 sols 6 deniers, pour en jouir après sa mort, à charge de la nourrir, la loger, l'entretenir, la soigner, puis la faire enterrer après son décès.