Quittances données au chapitre royal de Sainte-Opportune, des sommes versées pour travaux faits dans une maison appartenant au chapitre, sise rue de l'Éguillerie, par les entrepreneurs des métiers intéressés et par Jean Aumont, architecte des bâtiments du roi, juré expert entrepreneur, juge et garde de la maçonnerie, demeurant rue Quincampoix, celui-ci pour une somme de 600 livres; la réception des travaux a été faite par ledit Aumont et le procès-verbal reçu le 2 juin 1737 par Chevalier, substitut de Berville, greffier des bâtiments.
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Quittances données au chapitre royal de Sainte-Opportune, des sommes versées pour travaux faits dans une maison appartenant au chapitre, sise rue de l'Éguillerie, par les entrepreneurs des métiers intéressés et par Jean Aumont, architecte des bâtiments du roi, juré expert entrepreneur, juge et garde de la maçonnerie, demeurant rue Quincampoix, celui-ci pour une somme de 600 livres; la réception des travaux a été faite par ledit Aumont et le procès-verbal reçu le 2 juin 1737 par Chevalier, substitut de Berville, greffier des bâtiments.
xsd:date
1743-06-08
8 juin 1743
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 8 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Quittances données au chapitre royal de Sainte-Opportune, des sommes versées pour travaux faits dans une maison appartenant au chapitre, sise rue de l'Éguillerie, par les entrepreneurs des métiers intéressés et par Jean Aumont, architecte des bâtiments du roi, juré expert entrepreneur, juge et garde de la maçonnerie, demeurant rue Quincampoix, celui-ci pour une somme de 600 livres; la réception des travaux a été faite par ledit Aumont et le procès-verbal reçu le 2 juin 1737 par Chevalier, substitut de Berville, greffier des bâtiments.