Bail par Gabriel Belleville, maître formier, demeurant sur la descente du pont Marie, à l'enseigne du Colombier, et par Jacques Le Loutre, maître d'école, du jour de Noël au jour de la Saint-Jean-Baptiste suivant, à Antoine Simonin et à Pierre Le Febvre, demeurant rue Saint-Martin, proche de la porte, tous deux joueurs de figures artificielles, d'une boutique, salle, cuisine, cave et soupente dépendant de leur maison, afin de faire voir au public leurs jeux et figures artificielles à charge de ne rien démolir et moyennant 90 livres de loyer.
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Bail par Gabriel Belleville, maître formier, demeurant sur la descente du pont Marie, à l'enseigne du Colombier, et par Jacques Le Loutre, maître d'école, du jour de Noël au jour de la Saint-Jean-Baptiste suivant, à Antoine Simonin et à Pierre Le Febvre, demeurant rue Saint-Martin, proche de la porte, tous deux joueurs de figures artificielles, d'une boutique, salle, cuisine, cave et soupente dépendant de leur maison, afin de faire voir au public leurs jeux et figures artificielles à charge de ne rien démolir et moyennant 90 livres de loyer.
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1647-12-12
12 décembre 1647
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II, Paris, Archives nationales, 1974, 1092 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II [études XI à XX, 1900 actes], Paris, Archives nationales, 1974, p. 650 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Bail par Gabriel Belleville, maître formier, demeurant sur la descente du pont Marie, à l'enseigne du Colombier, et par Jacques Le Loutre, maître d'école, du jour de Noël au jour de la Saint-Jean-Baptiste suivant, à Antoine Simonin et à Pierre Le Febvre, demeurant rue Saint-Martin, proche de la porte, tous deux joueurs de figures artificielles, d'une boutique, salle, cuisine, cave et soupente dépendant de leur maison, afin de faire voir au public leurs jeux et figures artificielles à charge de ne rien démolir et moyennant 90 livres de loyer.