Transaction entre Blaise Berthod. ordinaire de la musique du roi, demeurant rue de Richelieu, ayant droit de faire l'enlèvement des immondices de la ville de Paris, d'une part, et Madeleine Picot, veuve de Pierre Perrin, demeurant rue Percée, commis à cet enlèvement, d'autre part, aux termes de laquelle ladite Picot consent que l'office demeure propriété de Berthod, qui le fera exercer par qui il voudra, et reçoit 1.000 livres en raison de son désistement.

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Transaction entre Blaise Berthod. ordinaire de la musique du roi, demeurant rue de Richelieu, ayant droit de faire l'enlèvement des immondices de la ville de Paris, d'une part, et Madeleine Picot, veuve de Pierre Perrin, demeurant rue Percée, commis à cet enlèvement, d'autre part, aux termes de laquelle ladite Picot consent que l'office demeure propriété de Berthod, qui le fera exercer par qui il voudra, et reçoit 1.000 livres en raison de son désistement. 
xsd:date 1649-08-03 
3 août 1649 
rdf:XMLLiteral Autre(s) instrument(s) de recherche Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II, Paris, Archives nationales, 1974, 1092 p.  
rdf:XMLLiteral Origine de l'information : Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II [études XI à XX, 1900 actes], Paris, Archives nationales, 1974, p. 160 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de révision :2011 Date de création de la notice :2009  
Transaction entre Blaise Berthod. ordinaire de la musique du roi, demeurant rue de Richelieu, ayant droit de faire l'enlèvement des immondices de la ville de Paris, d'une part, et Madeleine Picot, veuve de Pierre Perrin, demeurant rue Percée, commis à cet enlèvement, d'autre part, aux termes de laquelle ladite Picot consent que l'office demeure propriété de Berthod, qui le fera exercer par qui il voudra, et reçoit 1.000 livres en raison de son désistement. 

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