Constitution par Michel Nyon, dit La Fons, demeurant au faubourg Saint-Honoré, fils de Claude Nyon, à Arthus Cordier, bourgeois de Paris, demeurant rue Neuve-de-la-Reine-Mère, de 50 livres de rente annuelle et perpétuelle, moyennant 800 livres.
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Constitution par Michel Nyon, dit La Fons, demeurant au faubourg Saint-Honoré, fils de Claude Nyon, à Arthus Cordier, bourgeois de Paris, demeurant rue Neuve-de-la-Reine-Mère, de 50 livres de rente annuelle et perpétuelle, moyennant 800 livres.
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1620-08-07
7 août 1620
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II, Paris, Archives nationales, 1974, 1092 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II [études XI à XX, 1900 actes], Paris, Archives nationales, 1974, p. 241 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Constitution par Michel Nyon, dit La Fons, demeurant au faubourg Saint-Honoré, fils de Claude Nyon, à Arthus Cordier, bourgeois de Paris, demeurant rue Neuve-de-la-Reine-Mère, de 50 livres de rente annuelle et perpétuelle, moyennant 800 livres.