Constitution par Simon Boutillier [signe Boutillie], marchand drapier, demeurant rue de la Tonnellerie, par François Gansée, graveur d'histoires en bois, demeurant rue des Carmes, et sa femme, Barbe Du Mayne, à la fabrique de l'église Saint-Leu-Saint-Gilles, d'une rente de 50 l., au principal de 800 l., au denier 16 suivant l'édit. À la suite : - 1603, 13 février.- Déclaration des Gansée, disant que la constitution n'a été faite qu'à leur profit. En marge : - 1606, 1er décembre.- Mention du rachat de la rente.

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Constitution par Simon Boutillier [signe Boutillie], marchand drapier, demeurant rue de la Tonnellerie, par François Gansée, graveur d'histoires en bois, demeurant rue des Carmes, et sa femme, Barbe Du Mayne, à la fabrique de l'église Saint-Leu-Saint-Gilles, d'une rente de 50 l., au principal de 800 l., au denier 16 suivant l'édit. À la suite : - 1603, 13 février.- Déclaration des Gansée, disant que la constitution n'a été faite qu'à leur profit. En marge : - 1606, 1er décembre.- Mention du rachat de la rente. 
xsd:date 1603-02-13 
13 février 1603 
rdf:XMLLiteral Autre(s) instrument(s) de recherche Documents du Minutier central concernant les peintres, sculpteurs et graveurs au XVIIe siècle (1600-1650), tome II, par Marie-Antoinette Fleury et Martine Constans, 2010, 844 p., 8 planches.  
rdf:XMLLiteral Origine de l'information : Documents du Minutier central concernant les peintres, sculpteurs et graveurs au XVIIe siècle (1600-1650), par Marie-Antoinette Fleury et Martine Constans, tome II [études XI à XX, 2445 actes], Paris, Archives nationales, 2010, notice n°875 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de création de la notice :2012  
Constitution par Simon Boutillier [signe Boutillie], marchand drapier, demeurant rue de la Tonnellerie, par François Gansée, graveur d'histoires en bois, demeurant rue des Carmes, et sa femme, Barbe Du Mayne, à la fabrique de l'église Saint-Leu-Saint-Gilles, d'une rente de 50 l., au principal de 800 l., au denier 16 suivant l'édit. À la suite : - 1603, 13 février.- Déclaration des Gansée, disant que la constitution n'a été faite qu'à leur profit. En marge : - 1606, 1er décembre.- Mention du rachat de la rente. 

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