Mise en apprentissage par Noël de La Motte, violon ordinaire de la chambre du roi, demeurant rue de la Coutellerie, de Simon Quémin, son pupille, âgé de dix-sept ans, fils de Simon Quémin, son beau-frère, enlumineur juré de l'université de Paris, et de Marguerite Gorgibus, pour trois années, chez Pierre Le Doyen, marchand mercier grossier, bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, qui enseignera au jeune homme son métier, le nourrira et le logera, moyennant 160 livres.
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Mise en apprentissage par Noël de La Motte, violon ordinaire de la chambre du roi, demeurant rue de la Coutellerie, de Simon Quémin, son pupille, âgé de dix-sept ans, fils de Simon Quémin, son beau-frère, enlumineur juré de l'université de Paris, et de Marguerite Gorgibus, pour trois années, chez Pierre Le Doyen, marchand mercier grossier, bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, qui enseignera au jeune homme son métier, le nourrira et le logera, moyennant 160 livres.
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1624-10-14
14 octobre 1624
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II, Paris, Archives nationales, 1974, 1092 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II [études XI à XX, 1900 actes], Paris, Archives nationales, 1974, p. 221 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Mise en apprentissage par Noël de La Motte, violon ordinaire de la chambre du roi, demeurant rue de la Coutellerie, de Simon Quémin, son pupille, âgé de dix-sept ans, fils de Simon Quémin, son beau-frère, enlumineur juré de l'université de Paris, et de Marguerite Gorgibus, pour trois années, chez Pierre Le Doyen, marchand mercier grossier, bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, qui enseignera au jeune homme son métier, le nourrira et le logera, moyennant 160 livres.