Inventaire après décès de Richard Fauve, mort le 13 novembre 1652, marchand chapelier, bourgeois de Paris, y demeurant rue Planche-Mibray, en la maison où est pour enseigne le Carolus, à la requête de Nicolas Houzé, sieur de la Boulaye, et damoiselle Catherine Fauve, sa femme, demeurant à Paris, en ladite rue Planche-Mibray, au bout du pont Notre-Dame, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, tant en leurs noms comme créanciers de la succession dudit défunt, que comme ladite Fauve, habile à se dire et porter seule héritière dudit défunt, son père.
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Inventaire après décès de Richard Fauve, mort le 13 novembre 1652, marchand chapelier, bourgeois de Paris, y demeurant rue Planche-Mibray, en la maison où est pour enseigne le Carolus, à la requête de Nicolas Houzé, sieur de la Boulaye, et damoiselle Catherine Fauve, sa femme, demeurant à Paris, en ladite rue Planche-Mibray, au bout du pont Notre-Dame, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, tant en leurs noms comme créanciers de la succession dudit défunt, que comme ladite Fauve, habile à se dire et porter seule héritière dudit défunt, son père.
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1652-11-18
18 novembre 1652
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Origine de l'information :
Dépouillements réalisés par les bénévoles de "Projet Familles parisiennes.org/Au-delà de l'état-civil" : analyses de liasses d'inventaires après décès des XVIe et premier XVIIe siècles, par Jean-François Viel, Quentin Gravier et Pascal Ganier, avec l'aide de Jacques Le Marois.
ou
Georges Wildenstein, Le goût pour la peinture dans la bourgeoisie parisienne au début du règne de Louis XIII, d'après des inventaires après décès...[705 actes], Gazette des Beaux-Arts, Paris, 1959, p.97 (voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de création de la notice : 2009
Date de révision : 2016 (Marie-Françoise Limon-Bonnet).
Inventaire après décès de Richard Fauve, mort le 13 novembre 1652, marchand chapelier, bourgeois de Paris, y demeurant rue Planche-Mibray, en la maison où est pour enseigne le Carolus, à la requête de Nicolas Houzé, sieur de la Boulaye, et damoiselle Catherine Fauve, sa femme, demeurant à Paris, en ladite rue Planche-Mibray, au bout du pont Notre-Dame, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, tant en leurs noms comme créanciers de la succession dudit défunt, que comme ladite Fauve, habile à se dire et porter seule héritière dudit défunt, son père.