Inventaire après décès d’Anne Belin, morte le 25 septembre 1652, veuve en premières noces de Sébastien Tribouleau, vivant porteur de violons du Roi, à la requête d’Imbert Petiot, son mari en secondes noces, tailleur d’habits à Paris, y demeurant rue de la Tannerie, paroisse Saint-Gervais, tant en son nom à cause de la communauté d’entre ladite défunte et lui, que comme donataire mutuel de ladite défunte. En la présence d’Artus Cordier, maître tailleur d’habits, bourgeois de Paris, à cause de Marie Laurent, sa femme, habile à se dire et porter héritière de ladite défunte Anne Belin, sa nièce.
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Inventaire après décès d’Anne Belin, morte le 25 septembre 1652, veuve en premières noces de Sébastien Tribouleau, vivant porteur de violons du Roi, à la requête d’Imbert Petiot, son mari en secondes noces, tailleur d’habits à Paris, y demeurant rue de la Tannerie, paroisse Saint-Gervais, tant en son nom à cause de la communauté d’entre ladite défunte et lui, que comme donataire mutuel de ladite défunte. En la présence d’Artus Cordier, maître tailleur d’habits, bourgeois de Paris, à cause de Marie Laurent, sa femme, habile à se dire et porter héritière de ladite défunte Anne Belin, sa nièce.
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1652-11-27
27 novembre 1652
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Origine de l'information :
Dépouillements réalisés par les bénévoles de "Projet Familles parisiennes.org/Au-delà de l'état-civil" : analyses de liasses d'inventaires après décès des XVIe et premier XVIIe siècles, par Jean-François Viel, Quentin Gravier et Pascal Ganier, avec l'aide de Jacques Le Marois.
Date de création de la notice : 2016 (Marie-Françoise Limon-Bonnet).
Inventaire après décès d’Anne Belin, morte le 25 septembre 1652, veuve en premières noces de Sébastien Tribouleau, vivant porteur de violons du Roi, à la requête d’Imbert Petiot, son mari en secondes noces, tailleur d’habits à Paris, y demeurant rue de la Tannerie, paroisse Saint-Gervais, tant en son nom à cause de la communauté d’entre ladite défunte et lui, que comme donataire mutuel de ladite défunte. En la présence d’Artus Cordier, maître tailleur d’habits, bourgeois de Paris, à cause de Marie Laurent, sa femme, habile à se dire et porter héritière de ladite défunte Anne Belin, sa nièce.