Inventaire après décès de François Durand, marchand boulanger à Paris, survenu le 23 août 1645, à la requête de Catherine Caudebecq, sa veuve, demeurant rue du Mail, paroisse Saint-Eustache, en son nom à cause de leur communauté de biens. Et en la présence de Jean Durand et Siméon Durand (qui signent DURANT), aussi marchand de boulangerie à Paris, majeurs usant et jouissants de leurs biens et droits, de François Durand, pareillement marchand boulanger à Paris, émancipé sous l’autorité dudit Jean Durand, son frère et curateur, de Louis Drugeon, aulneur de toiles à Paris, tuteur des enfants mineurs de lui et de feue Philippe Durand, jadis sa femme, et de Michel Mérigot, pareillement émancipé sous l’autorité dudit Jean Durand, son oncle et curateur. Tous les dessus-dits Durand, mineurs, Drugeon et Mérigot, habiles à se dire héritiers du défunt leur père et aïeul. Les biens étant en la maison en laquelle demeure la veuve, et en laquelle le défunt est décédé. cote 3 en 1632 : Transaction entre ledit défunt François Durand, subrogé tuteur dudit Michel Mérigot, fils de Michel Mérigot, et de Madeleine Durand, au jour de son décès femme de Pierre Paste, maître tissutier rubanier à Paris, d’une part, et ledit Pierre Paste d’autre part.
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Inventaire après décès de François Durand, marchand boulanger à Paris, survenu le 23 août 1645, à la requête de Catherine Caudebecq, sa veuve, demeurant rue du Mail, paroisse Saint-Eustache, en son nom à cause de leur communauté de biens. Et en la présence de Jean Durand et Siméon Durand (qui signent DURANT), aussi marchand de boulangerie à Paris, majeurs usant et jouissants de leurs biens et droits, de François Durand, pareillement marchand boulanger à Paris, émancipé sous l’autorité dudit Jean Durand, son frère et curateur, de Louis Drugeon, aulneur de toiles à Paris, tuteur des enfants mineurs de lui et de feue Philippe Durand, jadis sa femme, et de Michel Mérigot, pareillement émancipé sous l’autorité dudit Jean Durand, son oncle et curateur. Tous les dessus-dits Durand, mineurs, Drugeon et Mérigot, habiles à se dire héritiers du défunt leur père et aïeul. Les biens étant en la maison en laquelle demeure la veuve, et en laquelle le défunt est décédé. cote 3 en 1632 : Transaction entre ledit défunt François Durand, subrogé tuteur dudit Michel Mérigot, fils de Michel Mérigot, et de Madeleine Durand, au jour de son décès femme de Pierre Paste, maître tissutier rubanier à Paris, d’une part, et ledit Pierre Paste d’autre part.
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1645-08-31
31 août 1645
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Origine de l'information :
Dépouillements réalisés par les bénévoles de "Projet Familles parisiennes.org/Au-delà de l'état-civil" : analyses de liasses d'inventaires après décès des XVIe et premier XVIIe siècles, par Jean-François Viel, Quentin Gravier, Pascal Ganier, Anthony Lachaud, Jean-Dominique Pellegrini et Christophe de Mazancourt, avec l'aide de Mireille Gille, Nicole Chantelou et Jacques Le Marois pour la mise en forme.
Date de création de la notice : 2021 (Marie-Françoise Limon-Bonnet)
Inventaire après décès de François Durand, marchand boulanger à Paris, survenu le 23 août 1645, à la requête de Catherine Caudebecq, sa veuve, demeurant rue du Mail, paroisse Saint-Eustache, en son nom à cause de leur communauté de biens. Et en la présence de Jean Durand et Siméon Durand (qui signent DURANT), aussi marchand de boulangerie à Paris, majeurs usant et jouissants de leurs biens et droits, de François Durand, pareillement marchand boulanger à Paris, émancipé sous l’autorité dudit Jean Durand, son frère et curateur, de Louis Drugeon, aulneur de toiles à Paris, tuteur des enfants mineurs de lui et de feue Philippe Durand, jadis sa femme, et de Michel Mérigot, pareillement émancipé sous l’autorité dudit Jean Durand, son oncle et curateur. Tous les dessus-dits Durand, mineurs, Drugeon et Mérigot, habiles à se dire héritiers du défunt leur père et aïeul. Les biens étant en la maison en laquelle demeure la veuve, et en laquelle le défunt est décédé. cote 3 en 1632 : Transaction entre ledit défunt François Durand, subrogé tuteur dudit Michel Mérigot, fils de Michel Mérigot, et de Madeleine Durand, au jour de son décès femme de Pierre Paste, maître tissutier rubanier à Paris, d’une part, et ledit Pierre Paste d’autre part.