Constitution par Mathurin Dufresne, sculpteur, et sa femme, Jeanne Cauvel, veuve de Régnault Carrier, maître corroyeur baudroyeur, et par Mathurin Mangeay, gruyer et capitaine des chasses des baronnies de La Ferté-Hubert et La Salle-lès- Cléry, demeurant au cul-de-sac près de la porte Montmartre, à Louis Hébert, procureur au Châtelet, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, d'une rente de 50 l., au principal de 900 l., garantie par une maison audit cul-de-sac, appartenant à Dufresne et sa femme, depuis le 6 décembre 1635, par acte passé devant Le Roux et Marreau [et acquisitions le 2 juillet 1635 de Jeanne Cauvel devant Le Semelier et Lecat]. Ils ont fait des augmentations lors de l'aplanissement du rempart et ont employé entre autres entrepreneurs, Philippe Massieu, maître peintre à Paris. La rente est aussi garantie par une maison à Orléans et des terres dans la vallée de la Loire. En marge : - 1637, 9 juillet.- Mention du rachat de la rente. À la suite : - Du même jour. Contre-lettre des époux Dufresne disant que le sieur Mangeay n'a rien touché des 900 l. et que, seuls, ils paieront la rente.
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Constitution par Mathurin Dufresne, sculpteur, et sa femme, Jeanne Cauvel, veuve de Régnault Carrier, maître corroyeur baudroyeur, et par Mathurin Mangeay, gruyer et capitaine des chasses des baronnies de La Ferté-Hubert et La Salle-lès- Cléry, demeurant au cul-de-sac près de la porte Montmartre, à Louis Hébert, procureur au Châtelet, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, d'une rente de 50 l., au principal de 900 l., garantie par une maison audit cul-de-sac, appartenant à Dufresne et sa femme, depuis le 6 décembre 1635, par acte passé devant Le Roux et Marreau [et acquisitions le 2 juillet 1635 de Jeanne Cauvel devant Le Semelier et Lecat]. Ils ont fait des augmentations lors de l'aplanissement du rempart et ont employé entre autres entrepreneurs, Philippe Massieu, maître peintre à Paris. La rente est aussi garantie par une maison à Orléans et des terres dans la vallée de la Loire. En marge : - 1637, 9 juillet.- Mention du rachat de la rente. À la suite : - Du même jour. Contre-lettre des époux Dufresne disant que le sieur Mangeay n'a rien touché des 900 l. et que, seuls, ils paieront la rente.
xsd:date
1636-11-22
22 novembre 1636
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant les peintres, sculpteurs et graveurs au XVIIe siècle (1600-1650), tome II, par Marie-Antoinette Fleury et Martine Constans, 2010, 844 p., 8 planches.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant les peintres, sculpteurs et graveurs au XVIIe siècle (1600-1650), par Marie-Antoinette Fleury et Martine Constans, tome II [études XI à XX, 2445 actes], Paris, Archives nationales, 2010, notice n°718 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de création de la notice : 2012
Constitution par Mathurin Dufresne, sculpteur, et sa femme, Jeanne Cauvel, veuve de Régnault Carrier, maître corroyeur baudroyeur, et par Mathurin Mangeay, gruyer et capitaine des chasses des baronnies de La Ferté-Hubert et La Salle-lès- Cléry, demeurant au cul-de-sac près de la porte Montmartre, à Louis Hébert, procureur au Châtelet, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, d'une rente de 50 l., au principal de 900 l., garantie par une maison audit cul-de-sac, appartenant à Dufresne et sa femme, depuis le 6 décembre 1635, par acte passé devant Le Roux et Marreau [et acquisitions le 2 juillet 1635 de Jeanne Cauvel devant Le Semelier et Lecat]. Ils ont fait des augmentations lors de l'aplanissement du rempart et ont employé entre autres entrepreneurs, Philippe Massieu, maître peintre à Paris. La rente est aussi garantie par une maison à Orléans et des terres dans la vallée de la Loire. En marge : - 1637, 9 juillet.- Mention du rachat de la rente. À la suite : - Du même jour. Contre-lettre des époux Dufresne disant que le sieur Mangeay n'a rien touché des 900 l. et que, seuls, ils paieront la rente.