Obligation par Pierre de Croismare, chevalier, seigneur de Saint-Jean et des Rotoirs, et Judith de Clermont, son épouse, demeurant rue Neuve-des-Fossés-de-Montmartre, à Antoine de Boesset, surintendant de la musique de la chambre du roi, demeurant rue Vivienne, de 9.000 livres empruntées pour le bâtiment qu'ils font construire en leur maison, et remboursables en un an.
http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/recordResource/041463-c1p6v2dlhd0j-18g41oeq6spqs an entity of type: RecordResource
Obligation par Pierre de Croismare, chevalier, seigneur de Saint-Jean et des Rotoirs, et Judith de Clermont, son épouse, demeurant rue Neuve-des-Fossés-de-Montmartre, à Antoine de Boesset, surintendant de la musique de la chambre du roi, demeurant rue Vivienne, de 9.000 livres empruntées pour le bâtiment qu'ils font construire en leur maison, et remboursables en un an.
xsd:date
1643-10-14
14 octobre 1643 - 27 juillet 1644
xsd:date
1644-07-27
rdf:XMLLiteral
Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II, Paris, Archives nationales, 1974, 1092 p.
rdf:XMLLiteral
Informations complémentaires :
Au dos :
1644, 27 juillet. Quittance de remboursement de 2.000 livres au notaire Le Cat.
Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II [études XI à XX, 1900 actes], Paris, Archives nationales, 1974, p. 131 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Obligation par Pierre de Croismare, chevalier, seigneur de Saint-Jean et des Rotoirs, et Judith de Clermont, son épouse, demeurant rue Neuve-des-Fossés-de-Montmartre, à Antoine de Boesset, surintendant de la musique de la chambre du roi, demeurant rue Vivienne, de 9.000 livres empruntées pour le bâtiment qu'ils font construire en leur maison, et remboursables en un an.