Déclaration suivant laquelle Perrette Le Jeune, femme de Nicolas Godinier, marchand mercier au Palais, demeurant rue Coquatrix, se serait rendue avec le notaire en la maison de Jean Fournier, maître apothicaire-épicier, rue du Mont Sainte-Geneviève, où elle aurait fait constater la présence de son mari en la chambre de Jeanne Lenffant, femme de Marin de Roussan, maître joueur de violon, alors que Godinier avait reçu défense 'de hanter ne frequenter ladicte femme'.
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Déclaration suivant laquelle Perrette Le Jeune, femme de Nicolas Godinier, marchand mercier au Palais, demeurant rue Coquatrix, se serait rendue avec le notaire en la maison de Jean Fournier, maître apothicaire-épicier, rue du Mont Sainte-Geneviève, où elle aurait fait constater la présence de son mari en la chambre de Jeanne Lenffant, femme de Marin de Roussan, maître joueur de violon, alors que Godinier avait reçu défense 'de hanter ne frequenter ladicte femme'.
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1607-07-29
29 juillet 1607
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II, Paris, Archives nationales, 1974, 1092 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II [études XI à XX, 1900 actes], Paris, Archives nationales, 1974, p. 264 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de création de la notice : 2009
Date de révision : 2021 (Marie-Françoise Limon-Bonnet)
Déclaration suivant laquelle Perrette Le Jeune, femme de Nicolas Godinier, marchand mercier au Palais, demeurant rue Coquatrix, se serait rendue avec le notaire en la maison de Jean Fournier, maître apothicaire-épicier, rue du Mont Sainte-Geneviève, où elle aurait fait constater la présence de son mari en la chambre de Jeanne Lenffant, femme de Marin de Roussan, maître joueur de violon, alors que Godinier avait reçu défense 'de hanter ne frequenter ladicte femme'.