Remise par Gillette Duvivier, fille âgée de vingt-sept ans, demeurant sur les fossés près la porte Saint-Marcel, à Jacques Michel, tambour des gardes du roi et fifre de la maison du roi, de tous les dommages auxquels elle serait en droit de prétendre du fait de leurs relations et de la qualité de mari et femme qu'ils ont prise dans certains actes. Cette remise est faite moyennant la promesse d'une somme de 80 livres qui sera payée par Michel au lendemain de ses noces ou après son décès.

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Remise par Gillette Duvivier, fille âgée de vingt-sept ans, demeurant sur les fossés près la porte Saint-Marcel, à Jacques Michel, tambour des gardes du roi et fifre de la maison du roi, de tous les dommages auxquels elle serait en droit de prétendre du fait de leurs relations et de la qualité de mari et femme qu'ils ont prise dans certains actes. Cette remise est faite moyennant la promesse d'une somme de 80 livres qui sera payée par Michel au lendemain de ses noces ou après son décès. 
xsd:date 1609-07-31 
31 juillet 1609 
rdf:XMLLiteral Autre(s) instrument(s) de recherche Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II, Paris, Archives nationales, 1974, 1092 p.  
rdf:XMLLiteral Origine de l'information : Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II [études XI à XX, 1900 actes], Paris, Archives nationales, 1974, p. 277 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de révision :2011 Date de création de la notice :2009  
Remise par Gillette Duvivier, fille âgée de vingt-sept ans, demeurant sur les fossés près la porte Saint-Marcel, à Jacques Michel, tambour des gardes du roi et fifre de la maison du roi, de tous les dommages auxquels elle serait en droit de prétendre du fait de leurs relations et de la qualité de mari et femme qu'ils ont prise dans certains actes. Cette remise est faite moyennant la promesse d'une somme de 80 livres qui sera payée par Michel au lendemain de ses noces ou après son décès. 

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