Promesse par Marin de Lyon, organiste de l'église, Saint-Étienne-du-Mont, demeurant rue Saint-Jean-de-Beauvais, à Martin Citole, docteur en théologie, curé de l'église, à Jacques Camus, conseiller du roi, au Sieur Gressier, avocat en parlement, à Jacques Le Breton et à Étienne Barbara, bourgeois de Paris, marguilliers, de 'toucher les orgues de ladite église luy mesme en personne aux festes necessaires', moyennant 300 livres de gages annuels.
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Promesse par Marin de Lyon, organiste de l'église, Saint-Étienne-du-Mont, demeurant rue Saint-Jean-de-Beauvais, à Martin Citole, docteur en théologie, curé de l'église, à Jacques Camus, conseiller du roi, au Sieur Gressier, avocat en parlement, à Jacques Le Breton et à Étienne Barbara, bourgeois de Paris, marguilliers, de 'toucher les orgues de ladite église luy mesme en personne aux festes necessaires', moyennant 300 livres de gages annuels.
xsd:date
1646-06-26
26 juin 1646
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II, Paris, Archives nationales, 1974, 1092 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II [études XI à XX, 1900 actes], Paris, Archives nationales, 1974, p. 705 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Promesse par Marin de Lyon, organiste de l'église, Saint-Étienne-du-Mont, demeurant rue Saint-Jean-de-Beauvais, à Martin Citole, docteur en théologie, curé de l'église, à Jacques Camus, conseiller du roi, au Sieur Gressier, avocat en parlement, à Jacques Le Breton et à Étienne Barbara, bourgeois de Paris, marguilliers, de 'toucher les orgues de ladite église luy mesme en personne aux festes necessaires', moyennant 300 livres de gages annuels.