PENSION § Mise en pension par Jean POPIN, maître tisserant au faubourg Saint-Victor, pour 1 an, de Marguerite POPIN, sa fille, chez Laurent PHILIPPON, maître des basses-oeuvres rue des Rats, moyennant 36 livres, à raison de 60 sols par mois, ledit POPIN devant entretenir sa fille en habits et chaussures pendant le temps. Moyennant quoi, Jeanne HOUSSON, servante s'est désistée du procès qu'ils avaient ensemble.
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PENSION § Mise en pension par Jean POPIN, maître tisserant au faubourg Saint-Victor, pour 1 an, de Marguerite POPIN, sa fille, chez Laurent PHILIPPON, maître des basses-oeuvres rue des Rats, moyennant 36 livres, à raison de 60 sols par mois, ledit POPIN devant entretenir sa fille en habits et chaussures pendant le temps. Moyennant quoi, Jeanne HOUSSON, servante s'est désistée du procès qu'ils avaient ensemble.
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1606-09-26
26 septembre 1606
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Origine de l'information :
Fichier dit 'général' XVIIe-XVIIIe siècles, par le personnel du Minutier, 1954-1999 ( fichier papier entièrement dématérialisé ; voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011-2012
Date de création de la notice : 2010
PENSION § Mise en pension par Jean POPIN, maître tisserant au faubourg Saint-Victor, pour 1 an, de Marguerite POPIN, sa fille, chez Laurent PHILIPPON, maître des basses-oeuvres rue des Rats, moyennant 36 livres, à raison de 60 sols par mois, ledit POPIN devant entretenir sa fille en habits et chaussures pendant le temps. Moyennant quoi, Jeanne HOUSSON, servante s'est désistée du procès qu'ils avaient ensemble.