Accord pour fin de procès entre Jean Bataille, mouleur de bûches à Paris, et Husson Quinerie, marchand et bourgeois de Paris, tuteurs du fils de Robin de Maisières, mouleur de bûches en grand à Paris, d'une part, et Guillaume Leconte, menuisier, et Jacques Beausse, laboureur à Montreuil, d'autre part, au sujet d'une rente de 20 s.p. que les tuteurs prétendent percevoir sur la maison que les seconds se partagent à Montreuil.
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Accord pour fin de procès entre Jean Bataille, mouleur de bûches à Paris, et Husson Quinerie, marchand et bourgeois de Paris, tuteurs du fils de Robin de Maisières, mouleur de bûches en grand à Paris, d'une part, et Guillaume Leconte, menuisier, et Jacques Beausse, laboureur à Montreuil, d'autre part, au sujet d'une rente de 20 s.p. que les tuteurs prétendent percevoir sur la maison que les seconds se partagent à Montreuil.
xsd:date
1487-06-24
24 juin 1487
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Minutier central des notaires de Paris, Minutes du XVe siècle de l'étude XIX, inventaire analytique, par Claire Béchu, Florence Greffe et Isabelle Pébay, Paris, Archives nationales, 1993, 893 p
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Origine de l'information :
Minutier central des notaires de Paris, Minutes du XVe siècle de l'étude XIX, inventaire analytique [5232 actes], par Claire Béchu, Florence Greffe et Isabelle Pebay, Paris, Archives nationales, 1993, p. 66 notice n° 471 (instrument de recherche imprimé dématérialisé dont la version intégrale est accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Accord pour fin de procès entre Jean Bataille, mouleur de bûches à Paris, et Husson Quinerie, marchand et bourgeois de Paris, tuteurs du fils de Robin de Maisières, mouleur de bûches en grand à Paris, d'une part, et Guillaume Leconte, menuisier, et Jacques Beausse, laboureur à Montreuil, d'autre part, au sujet d'une rente de 20 s.p. que les tuteurs prétendent percevoir sur la maison que les seconds se partagent à Montreuil.