Déclaration par Guillaume Delance, chaussetier à Paris, et Gervais Paris, selon laquelle leur belle-mère, Jeanne, veuve de Jean Fortier, chandelier de suif à Paris, leur a délivré toutes les lettres concernant l'hôtel du défunt, rue Saint-Antoine, devant l'hôtel de l'Homme sauvage, et le différend qui l'opposa aux religieux et abbé de Tiron à propos d'une rente de 30 s.p. qu'ils avaient le droit de lever sur cet hôtel.

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Déclaration par Guillaume Delance, chaussetier à Paris, et Gervais Paris, selon laquelle leur belle-mère, Jeanne, veuve de Jean Fortier, chandelier de suif à Paris, leur a délivré toutes les lettres concernant l'hôtel du défunt, rue Saint-Antoine, devant l'hôtel de l'Homme sauvage, et le différend qui l'opposa aux religieux et abbé de Tiron à propos d'une rente de 30 s.p. qu'ils avaient le droit de lever sur cet hôtel. 
xsd:date 1488-03-26 
26 mars 1488 
rdf:XMLLiteral Autre(s) instrument(s) de recherche Minutier central des notaires de Paris, Minutes du XVe siècle de l'étude XIX, inventaire analytique, par Claire Béchu, Florence Greffe et Isabelle Pébay, Paris, Archives nationales, 1993, 893 p  
rdf:XMLLiteral Informations complémentaires : A la suite : Du même jour. Promesse par Étienne Duboys, tailleur de robes, d'aider Guillaume Delance et Gervais Paris s'ils décident de continuer l'affaire. Origine de l'information : Minutier central des notaires de Paris, Minutes du XVe siècle de l'étude XIX, inventaire analytique [5232 actes], par Claire Béchu, Florence Greffe et Isabelle Pebay, Paris, Archives nationales, 1993, p. 79 notice n° 589 (instrument de recherche imprimé dématérialisé dont la version intégrale est accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de révision :2011 Date de création de la notice :2009  
Déclaration par Guillaume Delance, chaussetier à Paris, et Gervais Paris, selon laquelle leur belle-mère, Jeanne, veuve de Jean Fortier, chandelier de suif à Paris, leur a délivré toutes les lettres concernant l'hôtel du défunt, rue Saint-Antoine, devant l'hôtel de l'Homme sauvage, et le différend qui l'opposa aux religieux et abbé de Tiron à propos d'une rente de 30 s.p. qu'ils avaient le droit de lever sur cet hôtel. 

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