Vente par Jean LAIR, et Marie POPINEAU, sa femme, procureur au Châtelet, à Léonard OLERICI, prêtre, curé de Créteil demeurant à Paris, de partie d'une maison sise à Créteil, rue de Brie, provenant de la succession de Jeanne BARRE, mère de la vendeuse (au revers de l'acte du 2 décembre suivant, on trouve cette missive, signée LAIR : 'Monsieur mon compère, si maître Léonard vient lever ses lettres, je vous prie luy dire qu'il m'a baillé cinq ducatz trop légers de deux grains, trois escuz du Roi trop légers d'un gros grain, ung franc à cheval qui n'est a l'écu de Roy et que le prie me fournir bonnes espèces ou lieu d'icelles'.

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Vente par Jean LAIR, et Marie POPINEAU, sa femme, procureur au Châtelet, à Léonard OLERICI, prêtre, curé de Créteil demeurant à Paris, de partie d'une maison sise à Créteil, rue de Brie, provenant de la succession de Jeanne BARRE, mère de la vendeuse (au revers de l'acte du 2 décembre suivant, on trouve cette missive, signée LAIR : 'Monsieur mon compère, si maître Léonard vient lever ses lettres, je vous prie luy dire qu'il m'a baillé cinq ducatz trop légers de deux grains, trois escuz du Roi trop légers d'un gros grain, ung franc à cheval qui n'est a l'écu de Roy et que le prie me fournir bonnes espèces ou lieu d'icelles'. 
xsd:date 1541-11-30 
30 novembre 1541 
rdf:XMLLiteral Origine de l'information : Fichier dit 'général' XVIe siècle (env. 30.000 actes), par le personnel du Minutier, 1930-1999 (fichier papier entièrement dématérialisé ; voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de création de la notice :2008  
Vente par Jean LAIR, et Marie POPINEAU, sa femme, procureur au Châtelet, à Léonard OLERICI, prêtre, curé de Créteil demeurant à Paris, de partie d'une maison sise à Créteil, rue de Brie, provenant de la succession de Jeanne BARRE, mère de la vendeuse (au revers de l'acte du 2 décembre suivant, on trouve cette missive, signée LAIR : 'Monsieur mon compère, si maître Léonard vient lever ses lettres, je vous prie luy dire qu'il m'a baillé cinq ducatz trop légers de deux grains, trois escuz du Roi trop légers d'un gros grain, ung franc à cheval qui n'est a l'écu de Roy et que le prie me fournir bonnes espèces ou lieu d'icelles'. 

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