. "\n \n Autre(s) instrument(s) de recherche\n \n Madeleine Jurgens et Elisabeth Maxfield-Miller, Cent ans de recherches sur Molière, sur sa famille et sur les comédiens de sa troupe, Paris, Archives nationales, 1963, IV-860 p.\n \n \n "^^ . . "\n \n \n Origine de l'information :\n \n Madeleine Jurgens et Elisabeth Maxfield-Miller, Cent ans de recherches sur Molière, sur sa famille et sur les comédiens de sa troupe, Paris, Archives nationales, 1963, p. 639 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).\n \n Date de révision :2011\n \n Date de création de la notice :2009\n \n "^^ . . . "21 décembre 1638"@fr . . . . "Vente par Blaise Béranger, jardinier demeurant à La Roquette, près la porte Saint-Antoine, et Catherine de Rosny, sa femme, à Madeleine Béjart, ' fille émancipée ', demeurant au village de Picpus, près Paris, d'une maison sise à Bagnolet, en la grande rue, consistant en deux corps de logis couverts de tuiles, cour avec puits au milieu, jardin derrière, aboutissant à la ruelle Notre-Dame; cette maison est chargée de 20 livres, 12 sols, 6 deniers de rente, au principal de 330 livres, envers Claude de Rosny et sa femme, demeurant à Bagnolet; la vente est faite moyennant paiement de cette rente et moyennant la somme de 1.970 livres, sur laquelle Madeleine Béjart a versé 400 livres et dont le surplus sera versé ainsi : 400 livres le 1er janvier 1639, 400 livres le 1er février, 400 livres le 1er mars et le reste le 1er avril."@fr . "1638-12-21"^^ . . "Vente par Blaise Béranger, jardinier demeurant à La Roquette, près la porte Saint-Antoine, et Catherine de Rosny, sa femme, à Madeleine Béjart, ' fille émancipée ', demeurant au village de Picpus, près Paris, d'une maison sise à Bagnolet, en la grande rue, consistant en deux corps de logis couverts de tuiles, cour avec puits au milieu, jardin derrière, aboutissant à la ruelle Notre-Dame; cette maison est chargée de 20 livres, 12 sols, 6 deniers de rente, au principal de 330 livres, envers Claude de Rosny et sa femme, demeurant à Bagnolet; la vente est faite moyennant paiement de cette rente et moyennant la somme de 1.970 livres, sur laquelle Madeleine Béjart a versé 400 livres et dont le surplus sera versé ainsi : 400 livres le 1er janvier 1639, 400 livres le 1er février, 400 livres le 1er mars et le reste le 1er avril."@fr . .