Titre-nouvel par lequel Antoine Oultrebon, agissant en son nom et comme tuteur des enfants nés de son mariage avec Jacqueline de La Croix, se reconnaît propriétaire d'une maison sise rue du Coq, à l'enseigne du Petit Écu, tenant d'une part au sieur Barangues, et d'autre à Mangin Thouvenin, acquise par lui de Silvestre Le Normant, conseiller du roi et maître des requêtes ordinaire de son hôtel, et d'Adrienne Lhermitte, sa femme, par contrat sous seing privé du 23 avril 1616, en la censive de l'évêché de Paris.
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Titre-nouvel par lequel Antoine Oultrebon, agissant en son nom et comme tuteur des enfants nés de son mariage avec Jacqueline de La Croix, se reconnaît propriétaire d'une maison sise rue du Coq, à l'enseigne du Petit Écu, tenant d'une part au sieur Barangues, et d'autre à Mangin Thouvenin, acquise par lui de Silvestre Le Normant, conseiller du roi et maître des requêtes ordinaire de son hôtel, et d'Adrienne Lhermitte, sa femme, par contrat sous seing privé du 23 avril 1616, en la censive de l'évêché de Paris.
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1622-04-23
23 avril 1622
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II, Paris, Archives nationales, 1974, 1092 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II [études XI à XX, 1900 actes], Paris, Archives nationales, 1974, p. 171 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Titre-nouvel par lequel Antoine Oultrebon, agissant en son nom et comme tuteur des enfants nés de son mariage avec Jacqueline de La Croix, se reconnaît propriétaire d'une maison sise rue du Coq, à l'enseigne du Petit Écu, tenant d'une part au sieur Barangues, et d'autre à Mangin Thouvenin, acquise par lui de Silvestre Le Normant, conseiller du roi et maître des requêtes ordinaire de son hôtel, et d'Adrienne Lhermitte, sa femme, par contrat sous seing privé du 23 avril 1616, en la censive de l'évêché de Paris.