Mise en alloué par Jacques Thoury et par Marguerite Julliet, maîtresse toilière-lingère, sa femme, de Marie Thoury, leur fille, âgée de quatorze ans, pour quatre années, chez Catherine Pelletier, maîtresse toilière-lingère, demeurant rue Saint-Martin, paroisse Saint-Merri, qui lui enseignera son métier sans pouvoir l'employer en 'oeuvres serviles' et l'entretiendra de toutes ses nécessités, moyennant 100 livres, dont la moitié versée comptant.
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Mise en alloué par Jacques Thoury et par Marguerite Julliet, maîtresse toilière-lingère, sa femme, de Marie Thoury, leur fille, âgée de quatorze ans, pour quatre années, chez Catherine Pelletier, maîtresse toilière-lingère, demeurant rue Saint-Martin, paroisse Saint-Merri, qui lui enseignera son métier sans pouvoir l'employer en 'oeuvres serviles' et l'entretiendra de toutes ses nécessités, moyennant 100 livres, dont la moitié versée comptant.
xsd:date
1636-02-12
12 février 1636
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II, Paris, Archives nationales, 1974, 1092 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de la musique (1600-1650), par Madeleine Jurgens, tome II [études XI à XX, 1900 actes], Paris, Archives nationales, 1974, p. 481 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Mise en alloué par Jacques Thoury et par Marguerite Julliet, maîtresse toilière-lingère, sa femme, de Marie Thoury, leur fille, âgée de quatorze ans, pour quatre années, chez Catherine Pelletier, maîtresse toilière-lingère, demeurant rue Saint-Martin, paroisse Saint-Merri, qui lui enseignera son métier sans pouvoir l'employer en 'oeuvres serviles' et l'entretiendra de toutes ses nécessités, moyennant 100 livres, dont la moitié versée comptant.