Inventaire de séparation de biens, à la requête de honorable femme Catherine GAILLARD, femme séparée quant aux biens de maître Pierre PIZART, conseiller du Roi et général en sa cour des aides (en fait général des monnaies, cf. la sentence, et la provision d’office de 1586, cote 27) à Paris, demeurant rue Saint-Antoine, paroisse Saint-Gervais, par sentence de séparation du 14 juillet 1590. Assignation à comparaître donnée audit PIZART. Cote 1 : 1572 – Contrat de mariage PIZART x GAILLARD. Nicolas GAILLARD, marchand drapier, bourgeois de Paris et Hostelye de ROIGNY, sa femme, père et mère de la future, promettent 1 800 livres tournois. Et quittances de 1800 livres de 1572, et de 300 écus sol de 1583, de la succession de défunte Hostelye de ROIGNY. Cote 3 : 1582 – Echange amiable entre Marie LE SCELLYER, veuve de Sébastien DUBOYS, marchand épicier bourgeois de Paris, tant en son nom que comme tutrice de Charles et Pierre DUBOYS leurs enfants mineurs ; Guillaume PASSART, marchand bourgeois de Paris, demeurant sur le quai de la Mégisserie, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois et Marguerite DUBOYS sa femme, et Jean GAILLARD, marchand drapier, bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Antoine, paroisse Saint-Gervais, en son nom à cause de Marie DUBOYS sa femme, mineure, d’une part, et Pierre PIZART l’aîné, marchand mercier au Palais, bourgeois de Paris, en son nom d’autre part. Pierre Marguerite et Marie DUBOYS, frère et sœurs, héritiers dudit Sébastien DUBOYS leur père, qui fut héritier pour un quart de Catherine BOUQUYER sa mère, qui fut héritière de feu maître Guy BOUQUYER son frère, d’une maison de la Tête noire, Grand-rue faubourg Saint-Jacques. Cote 15 : 1588 – Echange entre Jean PIZART l’aîné, maître orfèvre à Paris demeurant rue Petite Saulnerie et ledit Pierre PIZART d’une part, et Marguerite PIZART femme de Thomas GARNYER, marchand bourgeois de Paris d’autre part, d’une forge sise sur le pont aux changes, où pend pour enseigne le Crocheteur appartenant auxdits Jean et Pierre PIZART par le décès de feu Marguerite LE CONTE leur mère, jadis femme en premières noces de feu Jean PIZART, et en secondes et dernières noces de maître Pierre (ou Philippe, cote 16) DUQUESNOY, grenetier à Senlis.
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Inventaire de séparation de biens, à la requête de honorable femme Catherine GAILLARD, femme séparée quant aux biens de maître Pierre PIZART, conseiller du Roi et général en sa cour des aides (en fait général des monnaies, cf. la sentence, et la provision d’office de 1586, cote 27) à Paris, demeurant rue Saint-Antoine, paroisse Saint-Gervais, par sentence de séparation du 14 juillet 1590. Assignation à comparaître donnée audit PIZART. Cote 1 : 1572 – Contrat de mariage PIZART x GAILLARD. Nicolas GAILLARD, marchand drapier, bourgeois de Paris et Hostelye de ROIGNY, sa femme, père et mère de la future, promettent 1 800 livres tournois. Et quittances de 1800 livres de 1572, et de 300 écus sol de 1583, de la succession de défunte Hostelye de ROIGNY. Cote 3 : 1582 – Echange amiable entre Marie LE SCELLYER, veuve de Sébastien DUBOYS, marchand épicier bourgeois de Paris, tant en son nom que comme tutrice de Charles et Pierre DUBOYS leurs enfants mineurs ; Guillaume PASSART, marchand bourgeois de Paris, demeurant sur le quai de la Mégisserie, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois et Marguerite DUBOYS sa femme, et Jean GAILLARD, marchand drapier, bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Antoine, paroisse Saint-Gervais, en son nom à cause de Marie DUBOYS sa femme, mineure, d’une part, et Pierre PIZART l’aîné, marchand mercier au Palais, bourgeois de Paris, en son nom d’autre part. Pierre Marguerite et Marie DUBOYS, frère et sœurs, héritiers dudit Sébastien DUBOYS leur père, qui fut héritier pour un quart de Catherine BOUQUYER sa mère, qui fut héritière de feu maître Guy BOUQUYER son frère, d’une maison de la Tête noire, Grand-rue faubourg Saint-Jacques. Cote 15 : 1588 – Echange entre Jean PIZART l’aîné, maître orfèvre à Paris demeurant rue Petite Saulnerie et ledit Pierre PIZART d’une part, et Marguerite PIZART femme de Thomas GARNYER, marchand bourgeois de Paris d’autre part, d’une forge sise sur le pont aux changes, où pend pour enseigne le Crocheteur appartenant auxdits Jean et Pierre PIZART par le décès de feu Marguerite LE CONTE leur mère, jadis femme en premières noces de feu Jean PIZART, et en secondes et dernières noces de maître Pierre (ou Philippe, cote 16) DUQUESNOY, grenetier à Senlis.
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1590-07-18
18 juillet 1590
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Origine de l'information :
Dépouillements réalisés par les bénévoles de "Projet Familles parisiennes.org/Au-delà de l'état-civil" : analyses de liasses d'inventaires après décès des XVIe et premier XVIIe siècles, par Jean-François Viel, Quentin Gravier, Pascal Ganier, Anthony Lachaud, Jean-Dominique Pellegrini et Christophe de Mazancourt, avec l'aide de Mireille Gille, Nicole Chantelou et Jacques Le Marois pour la mise en forme.
Date de création de la notice : 2021 (Marie-Françoise Limon-Bonnet)
Inventaire de séparation de biens, à la requête de honorable femme Catherine GAILLARD, femme séparée quant aux biens de maître Pierre PIZART, conseiller du Roi et général en sa cour des aides (en fait général des monnaies, cf. la sentence, et la provision d’office de 1586, cote 27) à Paris, demeurant rue Saint-Antoine, paroisse Saint-Gervais, par sentence de séparation du 14 juillet 1590. Assignation à comparaître donnée audit PIZART. Cote 1 : 1572 – Contrat de mariage PIZART x GAILLARD. Nicolas GAILLARD, marchand drapier, bourgeois de Paris et Hostelye de ROIGNY, sa femme, père et mère de la future, promettent 1 800 livres tournois. Et quittances de 1800 livres de 1572, et de 300 écus sol de 1583, de la succession de défunte Hostelye de ROIGNY. Cote 3 : 1582 – Echange amiable entre Marie LE SCELLYER, veuve de Sébastien DUBOYS, marchand épicier bourgeois de Paris, tant en son nom que comme tutrice de Charles et Pierre DUBOYS leurs enfants mineurs ; Guillaume PASSART, marchand bourgeois de Paris, demeurant sur le quai de la Mégisserie, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois et Marguerite DUBOYS sa femme, et Jean GAILLARD, marchand drapier, bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Antoine, paroisse Saint-Gervais, en son nom à cause de Marie DUBOYS sa femme, mineure, d’une part, et Pierre PIZART l’aîné, marchand mercier au Palais, bourgeois de Paris, en son nom d’autre part. Pierre Marguerite et Marie DUBOYS, frère et sœurs, héritiers dudit Sébastien DUBOYS leur père, qui fut héritier pour un quart de Catherine BOUQUYER sa mère, qui fut héritière de feu maître Guy BOUQUYER son frère, d’une maison de la Tête noire, Grand-rue faubourg Saint-Jacques. Cote 15 : 1588 – Echange entre Jean PIZART l’aîné, maître orfèvre à Paris demeurant rue Petite Saulnerie et ledit Pierre PIZART d’une part, et Marguerite PIZART femme de Thomas GARNYER, marchand bourgeois de Paris d’autre part, d’une forge sise sur le pont aux changes, où pend pour enseigne le Crocheteur appartenant auxdits Jean et Pierre PIZART par le décès de feu Marguerite LE CONTE leur mère, jadis femme en premières noces de feu Jean PIZART, et en secondes et dernières noces de maître Pierre (ou Philippe, cote 16) DUQUESNOY, grenetier à Senlis.